Je suis dans le bal
Je rentre dans le bal
Comme si ma dernière heure avait sonné
J'écris sans faille mes descentes, et mes apogées
Là ou le soleil règne
Les cœurs s'enflamment comme shéhérazade
Mille et une nuit,sous les mers,à vingt mille lieues
Je m'endors en fermant les paupières
Brise la loi du silence
Je ne suis que mon propre reflet
Des millions de miroirs en transe
Sous nos propres rejets
Enlacer nos pupilles, sous les étoiles étoilés d'un ciel voilé
J'enchante le chant des alouettes
Silence sur mes macchabées
Une tempête,mon orage
Et je tire un flare en guise de naufrage
Et pour ses yeux bleus mer
J'apprivoise nos colères sans aucun marque page
Un cœur de vénus que je burine au nom de milo
Une impression d'avoir fait la fête
Un millénaire sans une putain de goutte d'eau
Quand je partirai
En levant la tête je me sentirai,seul
Quand j'arriverai au point de départ
A trop en vouloir je serai,seul
Quand je marcherai au clair de lune en pensant à toi,seul
Quand je me regarderai dans le miroir
Là ou notre propre monde commence,éternel sourire
Sous les flots d'une pluie battante
Battant à la misère des sentiments confus
Au sommet,les gloires passées
D'un univers austère et inconnu
Je fumerai un champ de weed en un week
Si ça pouvait nous faire décoller
Mais je continue sans cesse d'affronter une fausse réalité
Je continue de rêver les pieds
Hors de la falaise comme une tâche de mascara
Jeune et con la voix de saez
Je ne veux pas d'une foutue
Couronne ne m'appelez plus roi
Au creux de nos souvenirs l'horloge se frappe à chacun de nos rires
Des châteaux de cendres
Un trophée et je me tranquillise dans ma reprise
Des abois d'un temps ou l'autrefois l'on pouvait voyager
Sans perdre notre propre voie,car nous sommes
Tel des pur sang,qui se donnent
A cent pour sang sous le joug d'un déviant
Qui dévie sans cesse j'arpente mes sons, comme tu l'entends
Aussi brut et transparent que le reflet d'un diamant
Une pluie d'argent sous les ruisseaux
Sous les torrents, des cœurs glaçants
Bien trop peu pour en voir la fin
Bien trop faim pour en voir trop peu
Dans les vallées, j'arracherai le bitume
J'en ai besoin que pour crier
D'un regard et d'une plume
Car tout ce que à quoi tu tiens peut s'embraser
Mais nos estimes envers nous-même
Seront gravés dans nos baisers
Comme si ma dernière heure avait sonné
J'écris sans faille mes descentes, et mes apogées
Là ou le soleil règne
Les cœurs s'enflamment comme shéhérazade
Mille et une nuit,sous les mers,à vingt mille lieues
Je m'endors en fermant les paupières
Brise la loi du silence
Je ne suis que mon propre reflet
Des millions de miroirs en transe
Sous nos propres rejets
Enlacer nos pupilles, sous les étoiles étoilés d'un ciel voilé
J'enchante le chant des alouettes
Silence sur mes macchabées
Une tempête,mon orage
Et je tire un flare en guise de naufrage
Et pour ses yeux bleus mer
J'apprivoise nos colères sans aucun marque page
Un cœur de vénus que je burine au nom de milo
Une impression d'avoir fait la fête
Un millénaire sans une putain de goutte d'eau
Quand je partirai
En levant la tête je me sentirai,seul
Quand j'arriverai au point de départ
A trop en vouloir je serai,seul
Quand je marcherai au clair de lune en pensant à toi,seul
Quand je me regarderai dans le miroir
Là ou notre propre monde commence,éternel sourire
Sous les flots d'une pluie battante
Battant à la misère des sentiments confus
Au sommet,les gloires passées
D'un univers austère et inconnu
Je fumerai un champ de weed en un week
Si ça pouvait nous faire décoller
Mais je continue sans cesse d'affronter une fausse réalité
Je continue de rêver les pieds
Hors de la falaise comme une tâche de mascara
Jeune et con la voix de saez
Je ne veux pas d'une foutue
Couronne ne m'appelez plus roi
Au creux de nos souvenirs l'horloge se frappe à chacun de nos rires
Des châteaux de cendres
Un trophée et je me tranquillise dans ma reprise
Des abois d'un temps ou l'autrefois l'on pouvait voyager
Sans perdre notre propre voie,car nous sommes
Tel des pur sang,qui se donnent
A cent pour sang sous le joug d'un déviant
Qui dévie sans cesse j'arpente mes sons, comme tu l'entends
Aussi brut et transparent que le reflet d'un diamant
Une pluie d'argent sous les ruisseaux
Sous les torrents, des cœurs glaçants
Bien trop peu pour en voir la fin
Bien trop faim pour en voir trop peu
Dans les vallées, j'arracherai le bitume
J'en ai besoin que pour crier
D'un regard et d'une plume
Car tout ce que à quoi tu tiens peut s'embraser
Mais nos estimes envers nous-même
Seront gravés dans nos baisers
Credits
Writer(s): Yves Eleutheria
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