Carlos Jobim

Un, deux et un, deux, trois et
Haut d'une colline, un soir d'été, il est tard
Dehors il ne reste à l'allure fatiguée que ces jeunes fêtards
Au loin la ville illuminée, reflète sur le ciel
Une sombre clarté laissant disparaître ces rêves immatériels
Pénombre levante nous donne le signe de presque être immortels
Tous les deux dans cette pièce si ce n'est ton ombre qui m'appelle
Sans un seul mot nos regards se croisent d'un air bavard
Pour se dire qu'il n'est jamais temps perdu pour un nouveau départ
Le soleil comme future flamme ravivant ce froid si long durant
Entre nous la glace fond de jour en jour pourtant
Tous les deux en héros principaux d'un film
À tenir de tout allongés sur un fil
Dans un esprit contradictoire on se brime
Écoutant des morceaux de Carlos Jobim
Tous les deux en héros principaux d'un film
À tenir de tout allongés sur un fil
Dans un esprit contradictoire on se brime
Écoutant des morceaux de Carlos Jobim
Le sable transformé en poussière d'étoile nous parle
À traîner le long des golfes clairs, me dirait Charles
Se prendre la tête dans un désert dans le Colorado
S'éprendre sans prise de tête au sommet du Corcovado
Le soleil comme future flamme ravivant ce froid si long durant
Entre nous la glace fond de jour en jour pourtant
Tous les deux en héros principaux d'un film
À tenir de tout allongés sur un fil
Dans un esprit contradictoire on se brime
Écoutant des morceaux de Carlos Jobim
Tous les deux en héros principaux d'un film
À tenir de tout allongés sur un fil
Dans un esprit contradictoire on se brime
Écoutant des morceaux de Carlos Jobim



Credits
Lyrics powered by www.musixmatch.com

Link