El Soñador
Ça se prélasse au soleil, soleil
Doux rayons sur les chicks c'est sans pareil
Perdu dans une nuit étoilée huitième merveille
A l'aube de l'éveil de l'éternel
Ça se prélasse au soleil
Ça se prélasse au soleil
Ça cavale dans les collines
A la recherche d'une belle aubépine
Dame aux belles épines
Force de la nature
Je consomme ses fleurs éperdument
Le regard se fixe vers le ciel azur
Un jour sur deux j'suis sous sed
Hâtif, moi j'envie tous ces gens créatifs
J'passe le temps sous mon plaid, inactif
Serie, animé je vis dans le récréatif
Les mots tournes et retournes dans ma tête tambourinant comme conga
Ou Joyboy, c'est une fois le corps mort que le fruit de l'esprit se réveilla
Doom dut da da
Ça se prélasse au soleil, soleil
Doux rayons sur les chicks c'est sans pareil
Perdu dans une nuit étoilée huitième merveille
A l'aube de l'éveil de l'éternel
Ça se prélasse au soleil
Ça se prélasse au soleil
Je dévale les sentiers dans les sabots d'un fecer
Dieu de la forêt aux milles cornes me donne de la cefor
J'exorcise tous les animaux malfaisants
Faisant de l'homme ma cible, mon amant
Mon ami entre, dans mon monde bien plus que fascinant
Paralysant tous mes sens
La mort frappe quand l'esprit s'éveille
J'le dirais pas trois fois, c'est évident
Trois sabres ou Trigun, c'est tout pareil
Un enfer qui défend toutes les bonnes gens
Zoro et Vash des calamités ambulantes
Deux inspis, deux flows, deux aventures trépidantes
Ça se prélasse au soleil, soleil
Doux rayons sur les chicks c'est sans pareil
Perdu dans une nuit étoilée huitième merveille
A l'aube de l'éveil de l'éternel
Ça se prélasse au soleil
Ça se prélasse au soleil
Essouffler par toutes ses histoires j'me réveille
Wrote down sur le paper tout ça
T'as le toupet de feedback mon talent
Tu veux que je te crible de fines lamelles de morta
Et je m'égare encore une fois
Tête dans les collines de cette nymphe
Ode à la joie
Les rayons du soleil caressent ma joue et l'eau coule dans ce petit val
Les fleurs d'aubépines partent en aval de l'été
Leurs feuilles ravivent la flamme
Endormie tout ce temps
L'esprit de nouveaux libre, le corps entame
Un retour à la vie
Un retour inexorable
Ça se prélasse au soleil, soleil
Doux rayons sur les chicks c'est sans pareil
Perdu dans une nuit étoilée huitième merveille
A l'aube de l'éveil de l'éternel
Ça se prélasse au soleil
Ça se prélasse au soleil
Doux rayons sur les chicks c'est sans pareil
Perdu dans une nuit étoilée huitième merveille
A l'aube de l'éveil de l'éternel
Ça se prélasse au soleil
Ça se prélasse au soleil
Ça cavale dans les collines
A la recherche d'une belle aubépine
Dame aux belles épines
Force de la nature
Je consomme ses fleurs éperdument
Le regard se fixe vers le ciel azur
Un jour sur deux j'suis sous sed
Hâtif, moi j'envie tous ces gens créatifs
J'passe le temps sous mon plaid, inactif
Serie, animé je vis dans le récréatif
Les mots tournes et retournes dans ma tête tambourinant comme conga
Ou Joyboy, c'est une fois le corps mort que le fruit de l'esprit se réveilla
Doom dut da da
Ça se prélasse au soleil, soleil
Doux rayons sur les chicks c'est sans pareil
Perdu dans une nuit étoilée huitième merveille
A l'aube de l'éveil de l'éternel
Ça se prélasse au soleil
Ça se prélasse au soleil
Je dévale les sentiers dans les sabots d'un fecer
Dieu de la forêt aux milles cornes me donne de la cefor
J'exorcise tous les animaux malfaisants
Faisant de l'homme ma cible, mon amant
Mon ami entre, dans mon monde bien plus que fascinant
Paralysant tous mes sens
La mort frappe quand l'esprit s'éveille
J'le dirais pas trois fois, c'est évident
Trois sabres ou Trigun, c'est tout pareil
Un enfer qui défend toutes les bonnes gens
Zoro et Vash des calamités ambulantes
Deux inspis, deux flows, deux aventures trépidantes
Ça se prélasse au soleil, soleil
Doux rayons sur les chicks c'est sans pareil
Perdu dans une nuit étoilée huitième merveille
A l'aube de l'éveil de l'éternel
Ça se prélasse au soleil
Ça se prélasse au soleil
Essouffler par toutes ses histoires j'me réveille
Wrote down sur le paper tout ça
T'as le toupet de feedback mon talent
Tu veux que je te crible de fines lamelles de morta
Et je m'égare encore une fois
Tête dans les collines de cette nymphe
Ode à la joie
Les rayons du soleil caressent ma joue et l'eau coule dans ce petit val
Les fleurs d'aubépines partent en aval de l'été
Leurs feuilles ravivent la flamme
Endormie tout ce temps
L'esprit de nouveaux libre, le corps entame
Un retour à la vie
Un retour inexorable
Ça se prélasse au soleil, soleil
Doux rayons sur les chicks c'est sans pareil
Perdu dans une nuit étoilée huitième merveille
A l'aube de l'éveil de l'éternel
Ça se prélasse au soleil
Ça se prélasse au soleil
Credits
Writer(s): Théophile Malherbe
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