02h15
A travers le chaos
Se joue une mélodie
Qui longtemps dans mon âme fera écho
Bouleversera toute ma vie
Cette musique sans un mot
Me propulse dans l'errance
J'ai rêvé de tes mains chaudes sur ma peau
De ta bouche, de nos pensées qui dansent
Puis, j'ai fantasmé en regardant la lune
C'était aisé j'avais retrouvé ma plume
J'ai vu une magnifique histoire sans chute
J'ai glissé sur une pente abrupte
Mon plus beau paradoxe
Mon amour mon ennemi
Tout se mélange dans ma tête, c'est fini
Tu es le fantôme qui rythme ma vie
J'aimerais te parler à blanchir la nuit
Ma raison, vite, s'enfuit, elle refuse d'entendre
Espère le partage de ces moments tendres
Tu ne s'ras pas de la partie
Mon convive étranger
Que j'n'ai pas invité
Lors d'un repas sans saveur, tu installes
De la douceur à en pleurer
A en pleurer
A la croisée des destins j'ai pris ta main
Sans le demander et tu l'as retirée
J'ai vu en nous quelque chose de divin
Je n'étais qu'une énamourée
Mon trésor, mon linceul
Mon homme d'or, ma p'tite gueule
Tu m'obliges, seule, à reprendre le chemin
Me laisse avec mépris affronter mon destin
Ma victoire, mon combat
Mon espoir, désespoir
Le reflet de mon salut interdit
Tes silences contre mon agonie
Se joue une mélodie
Qui longtemps dans mon âme fera écho
Bouleversera toute ma vie
Cette musique sans un mot
Me propulse dans l'errance
J'ai rêvé de tes mains chaudes sur ma peau
De ta bouche, de nos pensées qui dansent
Puis, j'ai fantasmé en regardant la lune
C'était aisé j'avais retrouvé ma plume
J'ai vu une magnifique histoire sans chute
J'ai glissé sur une pente abrupte
Mon plus beau paradoxe
Mon amour mon ennemi
Tout se mélange dans ma tête, c'est fini
Tu es le fantôme qui rythme ma vie
J'aimerais te parler à blanchir la nuit
Ma raison, vite, s'enfuit, elle refuse d'entendre
Espère le partage de ces moments tendres
Tu ne s'ras pas de la partie
Mon convive étranger
Que j'n'ai pas invité
Lors d'un repas sans saveur, tu installes
De la douceur à en pleurer
A en pleurer
A la croisée des destins j'ai pris ta main
Sans le demander et tu l'as retirée
J'ai vu en nous quelque chose de divin
Je n'étais qu'une énamourée
Mon trésor, mon linceul
Mon homme d'or, ma p'tite gueule
Tu m'obliges, seule, à reprendre le chemin
Me laisse avec mépris affronter mon destin
Ma victoire, mon combat
Mon espoir, désespoir
Le reflet de mon salut interdit
Tes silences contre mon agonie
Credits
Writer(s): Audrey Boulle
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