Marginal
Je reprends la plume sur une instru pour voir,
Ce que ça fait de s'isoler pour divaguer et réfléchir un soir.
Trop de temps sans gratter, ça m'avait manqué d'y croire,
À ma fiction, à mes rêves et à tous ces espoirs.
Bercées par l'harmonie et des fois par des larmes aussi,
Se remplissent des lignes, sans même savoir ce que l'autre moi en dit.
Des mots remplis d'émotions débordent et coulent,
Éclaboussant cette feuille où les idées se défoulent.
Je sais pas comment vous faites pour rester si sérieux.
Souvent je me concentre pour pas sembler paranormal, alors normal,
Parfois ça se voit, même si je fais au mieux.
J'arrive pas à m'imaginer la vie banale d'un type normal.
Je me retrouve dans la musique, comme un abri de fortune.
Comme quand t'es gosse,
Pour disparaître, tu caches des mains tes yeux.
Je sais que c'est sûrement pas comme ça que je ferai fortune,
Mais ici, pas besoin de paraître, c'est là que je me sens le mieux.
Des rimes à la dérive, je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
J'ai le syndrome de la page noire,
Pas le temps de réfléchir au sens des rimes qui abondent en mélodie.
Des fois j'écris des textes auxquels je suis même pas sûr de croire,
Pourtant les mots se trompent rarement sur l'objet de mes phobies.
Certains qualifieront ça d'art triste, à tort.
La mélancolie me berce et j'écris des poèmes à bord.
C'est peut-être ça qu'ils appellent être artiste alors,
Je sais bien qu'on me regarde quand,
Les yeux vides, je peins des grilles d'accords.
J'ai pas choisi, je fais que penser à ça.
Et je sais que je vais me coucher tard
Pour finir de noircir cette page.
Puis demain je trainerai pas, comme chaque matin,
Le réveille sonnera dès l'aube et je serai comme un gamin.
Derniers vers avant d'aller se coucher,
Un sentiment de privilégié traduit cet appétit.
Dernière rime, en voilà encore une bouchée,
L'esprit libre, je somnole déjà bercé par la poésie.
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
...
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
Ce que ça fait de s'isoler pour divaguer et réfléchir un soir.
Trop de temps sans gratter, ça m'avait manqué d'y croire,
À ma fiction, à mes rêves et à tous ces espoirs.
Bercées par l'harmonie et des fois par des larmes aussi,
Se remplissent des lignes, sans même savoir ce que l'autre moi en dit.
Des mots remplis d'émotions débordent et coulent,
Éclaboussant cette feuille où les idées se défoulent.
Je sais pas comment vous faites pour rester si sérieux.
Souvent je me concentre pour pas sembler paranormal, alors normal,
Parfois ça se voit, même si je fais au mieux.
J'arrive pas à m'imaginer la vie banale d'un type normal.
Je me retrouve dans la musique, comme un abri de fortune.
Comme quand t'es gosse,
Pour disparaître, tu caches des mains tes yeux.
Je sais que c'est sûrement pas comme ça que je ferai fortune,
Mais ici, pas besoin de paraître, c'est là que je me sens le mieux.
Des rimes à la dérive, je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
J'ai le syndrome de la page noire,
Pas le temps de réfléchir au sens des rimes qui abondent en mélodie.
Des fois j'écris des textes auxquels je suis même pas sûr de croire,
Pourtant les mots se trompent rarement sur l'objet de mes phobies.
Certains qualifieront ça d'art triste, à tort.
La mélancolie me berce et j'écris des poèmes à bord.
C'est peut-être ça qu'ils appellent être artiste alors,
Je sais bien qu'on me regarde quand,
Les yeux vides, je peins des grilles d'accords.
J'ai pas choisi, je fais que penser à ça.
Et je sais que je vais me coucher tard
Pour finir de noircir cette page.
Puis demain je trainerai pas, comme chaque matin,
Le réveille sonnera dès l'aube et je serai comme un gamin.
Derniers vers avant d'aller se coucher,
Un sentiment de privilégié traduit cet appétit.
Dernière rime, en voilà encore une bouchée,
L'esprit libre, je somnole déjà bercé par la poésie.
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
...
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
Des rimes à la dérive je laisse guider les mots,
Comme un navire quittant la ville qui abritait ses maux.
Tel un pirate, épanoui sur les flots, marginal,
Dans l'œil, des vers et des poèmes à conter sur les eaux.
Credits
Writer(s): Jovan Brunet
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.