Symptômes (feat. Any)
Chaque jour c'est la même
Des regards discrets mais on s'aime pas
Dans l'métro j'fais des rêves dans ma tête ou elle voudrais que j'sois son senpai
Mais elle regarde même pas
Au fond de mon torse j'ai des blessures profondes
Je crie 2 fois plus que l'jour ou j'suis v'nu au monde
Marqué par le temps, gravé dans les secondes
On exploite on torture pour remplir ses comptes
Pour contrer la fatigue j'prends 2 cafés d'plus
J'croise des keumé tout gris prêt de l'arrêt d'bus
J'ai juste levé les yeux (J'ai juste levé les yeux)
J'vois des démons donc je marche tout droit tête baissée et je m'arrête plus
La bas ça tapine
Y font q'se lécher l'cul
La cigarette, j'fume
Bientôt un paquet, et je m'arrête plus
(Et je m'arrête plus)
J'ai le regard dragon, oublie le retard du daron
Dans l'métro, j'préfère le salon
Pas l'choix d'retourner au charbon
J'reprends les manières de Gaston
Je mens, j'ai aussi la flemme
Fatigué, j'attise la haine
Travailler pour quelques graines
J'y pense plus lorsque je ken
J'y pense plus lorsque je ken
Pendant qu'je fume j'oublie d'aller gagner la thune
J'veux pas que le travail me tue
Encore des problèmes qui s'accentuent
Entouré d'poètes, bientôt dans l'actu
Heureusement j'ai la musique
Pour parler de ces âmes tristes
Le trajet du matin toujours trop rapide
J'men roule un long avant d'me mettre à bosser pour des gens avides
Pourquoi la vie s'résume au taff et a la thune? (Je suis fatigué)
Je veux dormir lorsque je ne vois plus la lune (Des nuits agitées)
De plus en plus de gens ingrats, j'ai l'habitude (Je veux oublier)
Je matte jamais la télé, le monde est trop rude, ouais
Tout s'enchaîne autour de moi j'deviens sensible que lorsqu'il fait froid
(Ce monde part en éclats)
On m'enchaine au cou je crois et ce système qui m'inspire l'éffroi
(J'voulais garder la foi)
Ces temps où j'ne réfléchissais pas, des années qui nous séparent
(Ouai)
Maintenant je fais mine que je ne sais pas, fatigué des gens qui parlent trop
Tout s'enchaîne autour de moi j'deviens sensible que lorsqu'il fait froid
(Ce monde part en éclats)
On m'enchaine au cou je crois et ce système qui m'inspire l'éffroi
(J'voulais garder la foi)
Ces temps où j'ne réfléchissais pas, des années qui nous séparent
(Ouai)
Maintenant je fais mine que je ne sais pas, fatigué des gens qui parlent trop
Des regards discrets mais on s'aime pas
Dans l'métro j'fais des rêves dans ma tête ou elle voudrais que j'sois son senpai
Mais elle regarde même pas
Au fond de mon torse j'ai des blessures profondes
Je crie 2 fois plus que l'jour ou j'suis v'nu au monde
Marqué par le temps, gravé dans les secondes
On exploite on torture pour remplir ses comptes
Pour contrer la fatigue j'prends 2 cafés d'plus
J'croise des keumé tout gris prêt de l'arrêt d'bus
J'ai juste levé les yeux (J'ai juste levé les yeux)
J'vois des démons donc je marche tout droit tête baissée et je m'arrête plus
La bas ça tapine
Y font q'se lécher l'cul
La cigarette, j'fume
Bientôt un paquet, et je m'arrête plus
(Et je m'arrête plus)
J'ai le regard dragon, oublie le retard du daron
Dans l'métro, j'préfère le salon
Pas l'choix d'retourner au charbon
J'reprends les manières de Gaston
Je mens, j'ai aussi la flemme
Fatigué, j'attise la haine
Travailler pour quelques graines
J'y pense plus lorsque je ken
J'y pense plus lorsque je ken
Pendant qu'je fume j'oublie d'aller gagner la thune
J'veux pas que le travail me tue
Encore des problèmes qui s'accentuent
Entouré d'poètes, bientôt dans l'actu
Heureusement j'ai la musique
Pour parler de ces âmes tristes
Le trajet du matin toujours trop rapide
J'men roule un long avant d'me mettre à bosser pour des gens avides
Pourquoi la vie s'résume au taff et a la thune? (Je suis fatigué)
Je veux dormir lorsque je ne vois plus la lune (Des nuits agitées)
De plus en plus de gens ingrats, j'ai l'habitude (Je veux oublier)
Je matte jamais la télé, le monde est trop rude, ouais
Tout s'enchaîne autour de moi j'deviens sensible que lorsqu'il fait froid
(Ce monde part en éclats)
On m'enchaine au cou je crois et ce système qui m'inspire l'éffroi
(J'voulais garder la foi)
Ces temps où j'ne réfléchissais pas, des années qui nous séparent
(Ouai)
Maintenant je fais mine que je ne sais pas, fatigué des gens qui parlent trop
Tout s'enchaîne autour de moi j'deviens sensible que lorsqu'il fait froid
(Ce monde part en éclats)
On m'enchaine au cou je crois et ce système qui m'inspire l'éffroi
(J'voulais garder la foi)
Ces temps où j'ne réfléchissais pas, des années qui nous séparent
(Ouai)
Maintenant je fais mine que je ne sais pas, fatigué des gens qui parlent trop
Credits
Writer(s): Maxime Ploivy
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