TLJ

Yeah
Elengi Ya Trafic
Tout était écrit
Pour eux, j'n'ai que du mépris (mouvement historique)
(Espérance envolée, on s'est mis à voler de chaînes en or, des chaînes de vélo)
Ganja

Fuck la misère et le commissaire
Sombre est la face cachée que j'aperçois au clair de la lune
Au cœur de la une, détruire l'hémisphère
N'est pas une solution, mais en deviendra une
Hein, les frères qui prennent des peines lourdes
Mais je n'perds pas l'nord, j'n'ai pas peur des bleus
Avec moi j'ai Dieu
J'n'ai pas peur de l'amour, j'n'ai pas peur de la mort
Mais j'ai peur des deux (j'ai peur des deux)

On joue avec nos chances au bord du gouffre
On saute et on s'laisse kiffer
On a toujours de chances de faire mieux que les autres
Quand on sait ce qui s'fait
Les gens changent, mais je garde le silence
On fait semblant de ne pas savoir, mais on sait c'qu'il fait
Viking (euh, euh)
On sait encaisser les coups et on sait esquiver
Dans des galères où j'me pose des questions
Auxquelles j'ai déjà les réponses

Beaucoup, nous font confiance
Beaucoup veulent nous faire
Frère, on n'est pas venus faire les cons (jamais)
Il serait temps de faire les comptes
Ils font les types qui veulent lancer des pics
Dans les zup c'est des suceurs de bite
J'vais même pas leur répondre
En bas, des ges-sh' prennent des rails, des jeunes qui déraillent
J'investis dans mes peurs, j'les affronte seul et je ride

Trop de frères condamnés, tous les jours
C'est la folie dans l'binks, tous les jours
Les larmes coulent sur les joues
Nouveaux ennemis dans l'binks, tous les jours
Encore un crâne sous des genoux et on reviendra l'lendemain, tous les jours

Trop de frères condamnés, tous les jours
C'est la folie dans l'binks, tous les jours
Les larmes coulent sur les joues
Nouveaux ennemis dans l'binks, tous les jours
Encore un crâne sous des genoux (dans nos têtes, c'est le chaos)
Et on reviendra l'lendemain, tous les jours

Très proche des chemins tordus
Mais je n'pense qu'à faire des sous et invest'
J'ai toujours enlevé quand ça devenait tendu
Mais j'n'ai jamais retourné ma veste (non)
Au cœur du récit, j'ai souvent pu voir le coup de la tromperie
Ton propre frère ne t'aime pas mais toi
Tu n'l'as toujours pas compris (tu fais quoi, frérot?)
Les plus petits sont rodés, les civils vont trotter, bref
On vit en plein dans nos cauchemars, impossible de rêver donc
Il faut qu'on s'réveille

Nos destins sont scellés, fêlés, le trafic est en mode éveil
Rien n'est impossible, si tu peux, essaye
Rien n'est impossible, si tu peux, réessaye
Tout était écrit depuis toujours, maman m'l'avait dit
J'ai des frères sur l'terrain comme Ézéchiel Lavezzi
Qui s'perdent dans l'binks, Jack D plein la vessie
Certains veulent témoigner parce que t'es juste là
D'autres restent prêts parce que t'es juste loin

En bas, des ges-sh' prennent des rails, des jeunes qui déraillent
J'investis dans mes peurs, j'les affronte seul et je ride

Trop de frères condamnés, tous les jours
C'est la folie dans l'binks, tous les jours
Les larmes coulent sur les joues
Nouveaux ennemis dans l'binks, tous les jours
Encore un crâne sous des genoux et on reviendra l'lendemain, tous les jours

Trop de frères condamnés, tous les jours
C'est la folie dans l'binks, tous les jours
Larmes coulent sur les joues
Nouveaux ennemis dans l'binks, tous les jours
Hein, encore un crâne sous des genoux (ouh-ouh, dans nos têtes, c'est le chaos)
Et on reviendra l'lendemain, tous les jours