Gaïa
Gaïa, Gaïa, Gaïa
Les forêts se mettent à cracher les flammes du Mordor
Et sur un monde abusé moi je m'endors
Les océans sont déchaînés par Poséidon
J'me réveille, attiré par le bruit des typhons hey
J'suis sous tension comme James Bond quand dans la ville le tonnerre gronde
Ouranos respire la fumée du brasier
Puis dans l'ivresse du progrès, tu prends le retour du boomerang
Au dessus de la tête épée de Damoclès
A tous ces serpents je leur parle en fourchelangue hey
Un monde rongé par la haine de Arès
Je vois la vie en noir et blanc comme le yin et le yang
Et s'il a pas disparu, je ferai le tour du monde
En 80 jours, j'atomise Phileas Fogg
Mais j'arrive plus à respirer, là je suis pris dans le smog
C'est comme si j'avais pris dans la gueule toute la fumée de Smaug
Alors j'accélère, j'me sens Flash vitesse éclair
J'suis dans les airs dans mon vaisseau vitesse lumière
Mais la journée s'achève sur une vision effrayante
Une terre en flamme, on dirait mon cœur
J'ai des pensées terrifiantes
Fait gaffe, ma lame est bien aiguisée
Dans ma tête on est trois comme les pyramides de Gizeh
Sur son chemin Thanos balaye tout comme un bison
Claquement de doigt tu disparais et j'te dis bisou, j'te dis bisou
J'vais parcourir ciel et terre jusqu'au détroit
La Terre Brûlée m'envahit comme le cheval de Troie
Le paysage est sombre et mes idées sont noires
Mes idées sont pas claires, elles sont assombries par la douleur
Gaïa mène sa vie en douceur
Et moi, j'suis mystérieux, le visage couvert par un masque ouais
J'suis couronné, plein de secrets, j'suis Toutânkhamon
J'attends le coup de feu la tempe contre le canon
J'suis entouré de malheur, j'suis entouré de malades
Un monde qui pourrit de l'intérieur et des gens qui croient aux salades
Alexander Supertramp j'pars en balade, là j'en ai marre
J'en ai marre, j'veux m'évader à tout prix
J'repense à cette Terre, à ce monde auquel on a tout pris
J'essaye de m'en sortir, j'suis Robinson
Je m'enfuis d'ici après la fin du son
J'abandonne ce navire, cette épave qui va tout droit vers le fond
Les innocents, l'Arche de Noé les sauvera
Un météore dans ma trajectoire qui s'écrase non loin de moi
J'suis comme un T-Rex qui va au dortoir
Alors j'aperçois Morphée, qui m'attend
Peut-être est-ce Eve et Adam
Je m'avance, derrière moi les portes se ferment
Et j'y pense, mais jamais je ne me réveille
Jamais jamais jamais nan
Jamais je ne me réveille
Les forêts se mettent à cracher les flammes du Mordor
Et sur un monde abusé moi je m'endors
Les océans sont déchaînés par Poséidon
J'me réveille, attiré par le bruit des typhons hey
J'suis sous tension comme James Bond quand dans la ville le tonnerre gronde
Ouranos respire la fumée du brasier
Puis dans l'ivresse du progrès, tu prends le retour du boomerang
Au dessus de la tête épée de Damoclès
A tous ces serpents je leur parle en fourchelangue hey
Un monde rongé par la haine de Arès
Je vois la vie en noir et blanc comme le yin et le yang
Et s'il a pas disparu, je ferai le tour du monde
En 80 jours, j'atomise Phileas Fogg
Mais j'arrive plus à respirer, là je suis pris dans le smog
C'est comme si j'avais pris dans la gueule toute la fumée de Smaug
Alors j'accélère, j'me sens Flash vitesse éclair
J'suis dans les airs dans mon vaisseau vitesse lumière
Mais la journée s'achève sur une vision effrayante
Une terre en flamme, on dirait mon cœur
J'ai des pensées terrifiantes
Fait gaffe, ma lame est bien aiguisée
Dans ma tête on est trois comme les pyramides de Gizeh
Sur son chemin Thanos balaye tout comme un bison
Claquement de doigt tu disparais et j'te dis bisou, j'te dis bisou
J'vais parcourir ciel et terre jusqu'au détroit
La Terre Brûlée m'envahit comme le cheval de Troie
Le paysage est sombre et mes idées sont noires
Mes idées sont pas claires, elles sont assombries par la douleur
Gaïa mène sa vie en douceur
Et moi, j'suis mystérieux, le visage couvert par un masque ouais
J'suis couronné, plein de secrets, j'suis Toutânkhamon
J'attends le coup de feu la tempe contre le canon
J'suis entouré de malheur, j'suis entouré de malades
Un monde qui pourrit de l'intérieur et des gens qui croient aux salades
Alexander Supertramp j'pars en balade, là j'en ai marre
J'en ai marre, j'veux m'évader à tout prix
J'repense à cette Terre, à ce monde auquel on a tout pris
J'essaye de m'en sortir, j'suis Robinson
Je m'enfuis d'ici après la fin du son
J'abandonne ce navire, cette épave qui va tout droit vers le fond
Les innocents, l'Arche de Noé les sauvera
Un météore dans ma trajectoire qui s'écrase non loin de moi
J'suis comme un T-Rex qui va au dortoir
Alors j'aperçois Morphée, qui m'attend
Peut-être est-ce Eve et Adam
Je m'avance, derrière moi les portes se ferment
Et j'y pense, mais jamais je ne me réveille
Jamais jamais jamais nan
Jamais je ne me réveille
Credits
Writer(s): Gabriel Lecomte
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