Sobre
Y'a ceux qui veulent rester et ceux qui veulent partir
Ceux qui veulent encore jouer puis ceux qui vont rentrer dormir
A coups de rhum ou d' whisky tu vas juste créer du drame
Ta pulsion de t'évader va encore déchirer ton âme
Tu dis qu'on se retrouve juste après
Qu'tu repasses juste prendre un verre
Tu promets qu'tu seras pas loin, qu'on doit pas s'inquiéter tu gères
T'sais plus comment on prie, t'sais plus la valeur de ta vie
Peut-être que tu respires encore, t'sais plus la valeur de ton corps
Tu connais les larmes, les cris de désespoir
La pièce de théâtre, le squelette des histoires
T'as peur de toi même, peur de voir ton pouvoir
C'est le bonheur évité
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
T'aimerais être comme les autres qui s'écoutent et se respectent
Mais tout est en désordre c'est le chaos dans ta tête
Dans le fond t'es à bout de forces tu voudrais honorer tes rêves
Ce funeste paradoxe va te griller ta sève
Ton âme veut la vérité, qu'on arrête de te juger
Mais ton égo pense à côté, veut juste être encore regardé
Tu vas évidemment noyer ton inaptitude à t'aimer
Et tes rêves et tes idées gisent inanimés à tes pieds
Tu connais les larmes, les cris de désespoir
La pièce de théâtre, le squelette des histoires
T'as peur de toi même, peur de voir ton pouvoir
C'est le bonheur évité
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Dans l'abondance, ta vie est-elle jamais sereine
A l'évidence tout est permis, l'ombre est de-ve-nue reine
Tes démons refont surface, boire l'espoir, anesthésier l'esprit
Tu creuses profondément l'impasse, l'orage arrive et te saisit
Extatique, léthargique, c'est toi qu'tu fuis la nuit
Incohérence, exubérance de tes désirs inassouvis
Tu t'empoissonnes puis te raisonnes
Mais c' trop tard c'pas beau quel gâchis
Une épave de talents, de joies inaccessibles
Tout ça pour effacer lentement
Tes contours trop sensibles
Tu connais les larmes, les cris de désespoir
La pièce de théâtre, le squelette des histoires
T'as peur de toi même, peur de voir ton pouvoir
C'est le bonheur évité
Tu connais les larmes, les cris de désespoir
La pièce de théâtre, le squelette des histoires
T'as peur de toi même, peur de voir ton pouvoir
C'est le bonheur évité
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Ceux qui veulent encore jouer puis ceux qui vont rentrer dormir
A coups de rhum ou d' whisky tu vas juste créer du drame
Ta pulsion de t'évader va encore déchirer ton âme
Tu dis qu'on se retrouve juste après
Qu'tu repasses juste prendre un verre
Tu promets qu'tu seras pas loin, qu'on doit pas s'inquiéter tu gères
T'sais plus comment on prie, t'sais plus la valeur de ta vie
Peut-être que tu respires encore, t'sais plus la valeur de ton corps
Tu connais les larmes, les cris de désespoir
La pièce de théâtre, le squelette des histoires
T'as peur de toi même, peur de voir ton pouvoir
C'est le bonheur évité
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
T'aimerais être comme les autres qui s'écoutent et se respectent
Mais tout est en désordre c'est le chaos dans ta tête
Dans le fond t'es à bout de forces tu voudrais honorer tes rêves
Ce funeste paradoxe va te griller ta sève
Ton âme veut la vérité, qu'on arrête de te juger
Mais ton égo pense à côté, veut juste être encore regardé
Tu vas évidemment noyer ton inaptitude à t'aimer
Et tes rêves et tes idées gisent inanimés à tes pieds
Tu connais les larmes, les cris de désespoir
La pièce de théâtre, le squelette des histoires
T'as peur de toi même, peur de voir ton pouvoir
C'est le bonheur évité
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Dans l'abondance, ta vie est-elle jamais sereine
A l'évidence tout est permis, l'ombre est de-ve-nue reine
Tes démons refont surface, boire l'espoir, anesthésier l'esprit
Tu creuses profondément l'impasse, l'orage arrive et te saisit
Extatique, léthargique, c'est toi qu'tu fuis la nuit
Incohérence, exubérance de tes désirs inassouvis
Tu t'empoissonnes puis te raisonnes
Mais c' trop tard c'pas beau quel gâchis
Une épave de talents, de joies inaccessibles
Tout ça pour effacer lentement
Tes contours trop sensibles
Tu connais les larmes, les cris de désespoir
La pièce de théâtre, le squelette des histoires
T'as peur de toi même, peur de voir ton pouvoir
C'est le bonheur évité
Tu connais les larmes, les cris de désespoir
La pièce de théâtre, le squelette des histoires
T'as peur de toi même, peur de voir ton pouvoir
C'est le bonheur évité
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Quand est-ce qu'on est sobre
Credits
Writer(s): Anais Malika D El Bahyaoui
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