Le retour du roi
Enfin la terre à l'horizon
Les vents de la guerre me caressent les songes
Les miens m'aimeront-ils encore s'ils peuvent lire les sombres histoires que mes pupilles racontent?
Les cris de ces pauvres gens scrutant la mer quand surgirent de la brume nos dragons
J'ai conduit mes frères par-delà cette ligne où le monde est censé chuter
Tué mes adversaires, et pour les plus dignes j'ai léché leur sang sur mes glaives
J'aimais pas la guerre, j'aimais être libre, aujourd'hui je rentre sur mes terres
Mais sans cesse je l'entends encore hurler
Je sens le vent des guerres, le goût du sang léché
Ce sont eux qui prendront ma vie
Ma place est dans cette terre, quand vous m'y enterrerez
Placez-moi dans mon navire
Le roi est enfin de retour
Mes victoires m'ont rendu célèbre
J'avais si soif de vous
C'est pas ce que c'était censé être
L'ancien moi me rend fou
Je fais qu'entendre chanter les ténèbres
Mon corps est ici parmi vous
Mais les dieux de la guerre tiennent mon esprit enchaîné
Être avec vous, j'sais plus si j'suis totalement capable
J'crois qu'ma vraie place est sur l'épine dorsale d'un drakkar
Les cris de victoire, le fer qui chante, les cieux qui crépitent
Écrire l'histoire avec le sang de mes meilleurs ennemis
Tu m'aimais, tu priais pour que je revienne
Là, vous m'dites que je ne suis plus le même mais c'est vous qui avez changé
J'vous reconnais plus, vous étiez plus vrais dans mes rêves
Depuis que j'ai les pieds sur la terre ferme mon esprit ne cesse de tanguer
Où est ma jeunesse? Les trésors que j'avais enterrés?
Où est la fenêtre? Celle par laquelle j'te regardais danser seule
J'vois plus l'étincelle dans tes yeux, cette beauté ténébreuse qui fendait mes boucliers
Cette foutue parcelle de magie, d'amour pur ou de paix que j'étais censé retrouver
J'aurais pas dû revenir, demeurer loin
Me glisser dans la peau d'un lointain souvenir
Pour nourrir l'idéal des siens, en chemin quelques fois il faut savoir mourir
Pas du revenir, vous laisser rêver, vous laisser imaginer en secret
Qu'un soir je naviguais sur une mer qui toute entière, goutte à goutte, s'est fait aspirer par le ciel
Je sens le vent des guerres, le goût du sang léché
Ce sont eux qui prendront ma vie
Ma place est dans cette terre, quand vous m'y enterrerez
Placez-moi dans mon navire
Le roi est enfin de retour
Mes victoires m'ont rendu célèbre
J'avais si soif de vous
C'est pas ce que c'était censé être
L'ancien moi me rend fou
Je fais qu'entendre chanter les ténèbres
Mon corps est ici parmi vous
Mais les dieux de la guerre tiennent mon esprit enchaîné
Les vents de la guerre me caressent les songes
Les miens m'aimeront-ils encore s'ils peuvent lire les sombres histoires que mes pupilles racontent?
Les cris de ces pauvres gens scrutant la mer quand surgirent de la brume nos dragons
J'ai conduit mes frères par-delà cette ligne où le monde est censé chuter
Tué mes adversaires, et pour les plus dignes j'ai léché leur sang sur mes glaives
J'aimais pas la guerre, j'aimais être libre, aujourd'hui je rentre sur mes terres
Mais sans cesse je l'entends encore hurler
Je sens le vent des guerres, le goût du sang léché
Ce sont eux qui prendront ma vie
Ma place est dans cette terre, quand vous m'y enterrerez
Placez-moi dans mon navire
Le roi est enfin de retour
Mes victoires m'ont rendu célèbre
J'avais si soif de vous
C'est pas ce que c'était censé être
L'ancien moi me rend fou
Je fais qu'entendre chanter les ténèbres
Mon corps est ici parmi vous
Mais les dieux de la guerre tiennent mon esprit enchaîné
Être avec vous, j'sais plus si j'suis totalement capable
J'crois qu'ma vraie place est sur l'épine dorsale d'un drakkar
Les cris de victoire, le fer qui chante, les cieux qui crépitent
Écrire l'histoire avec le sang de mes meilleurs ennemis
Tu m'aimais, tu priais pour que je revienne
Là, vous m'dites que je ne suis plus le même mais c'est vous qui avez changé
J'vous reconnais plus, vous étiez plus vrais dans mes rêves
Depuis que j'ai les pieds sur la terre ferme mon esprit ne cesse de tanguer
Où est ma jeunesse? Les trésors que j'avais enterrés?
Où est la fenêtre? Celle par laquelle j'te regardais danser seule
J'vois plus l'étincelle dans tes yeux, cette beauté ténébreuse qui fendait mes boucliers
Cette foutue parcelle de magie, d'amour pur ou de paix que j'étais censé retrouver
J'aurais pas dû revenir, demeurer loin
Me glisser dans la peau d'un lointain souvenir
Pour nourrir l'idéal des siens, en chemin quelques fois il faut savoir mourir
Pas du revenir, vous laisser rêver, vous laisser imaginer en secret
Qu'un soir je naviguais sur une mer qui toute entière, goutte à goutte, s'est fait aspirer par le ciel
Je sens le vent des guerres, le goût du sang léché
Ce sont eux qui prendront ma vie
Ma place est dans cette terre, quand vous m'y enterrerez
Placez-moi dans mon navire
Le roi est enfin de retour
Mes victoires m'ont rendu célèbre
J'avais si soif de vous
C'est pas ce que c'était censé être
L'ancien moi me rend fou
Je fais qu'entendre chanter les ténèbres
Mon corps est ici parmi vous
Mais les dieux de la guerre tiennent mon esprit enchaîné
Credits
Writer(s): Kendo
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