Au Bout de la Nuit
Trop de pensées qui me parlent, j'me perds un peu dans le bruit
J'décompense dans le silence un peu dépassé par mon esprit
J'me répète, le temps passera ainsi-
Partiront les soucis, j'vis comme si j'étais invincible
Les yeux fixés sur la cible, comme si j'étais marqué au front
Si j'le fais, on ira jusqu'au bout, si je plonge, on ira jusqu'au fond
J'me confonds mais qu'est-ce qu'on fout ici-bas
Si la Mort semble si douce c'est que la vie ne nous réussit pas
On détruit ou on trahit ce que l'on craint ou c'qu'on envie
La Mort avorte, les Anges chantent une ode à la vie
Tous prient que le vent apporte leur mélodie
Le temps emporte nos souvenirs jusqu'au bout de la nuit
Trop de mauvais rêves ici, trop de mauvais rêves
Trouve un moyen pour te sauver avant d'aider les autres
On le saurait si la vie essayait d'être juste
Donc pour ceux infortunés, moi j'lève mon verre à la vôtre
En dépit des hommes, la voix des anges est déformée
D'ici-bas, leur chant nous semble toujours tellement juste
J'ai le viseur sur la Lune
L'œil en sang derrière la lunette
Mèche allumée, j'brûle l'amertume pour y voir un peu plus net
Aucune place pour le doute une fois monté sur la tribune
Toujours rester confiant, rester conscient d'tes attributs
Être sommé par le Ciel, assommé par le Soleil
Être assommé par le sommeil mais poursuivre tout c'qui nous tue
C'est le propre de l'Homme (C'est le propre de l'Homme)
Voir la beauté dans la cruauté
C"est le propre des Anges (le propre des Anges)
Donc rien ne sert de pleurer sur ton sort
J'me réconforte en attendant que les temps changent
Tu sens le vent qui s'agite venir balayer nos cendres
J'ai mal au ventre, ici-bas, t'façons y'a plus rien à attendre
J'veux entendre l'appel des Anges, bien qu'ils observent en silence
Nous laissent souffrir, gentiment, le cœur enchaîné au ciment
On s'immole pour devenir cendres, on s'envole
On simule un Paradis sur Terre
On brûle nos ailes, on s'éclaire
On comprend pas, le Ciel est silencieux et personne nous écoutera
On goûte au vice, on pèse le pour, le contre
Et on s'demande ce que tout ça nous coûtera
Donc on réveille le monstre, on voit plus le bout d'la route
Mais j'me rassure, j'me convainc qu'au final j'en ai rien à foutre
Les blessures, on encaisse, on endure, vas-y laisse
J't'ai dit j'en ai rien à foutre
Regarde bien où tu marches (Ouais)
Le chemin le plus simple est souvent celui vers les flammes
Accélère la cadence, reste pas trop longtemps à la marge
Te perds pas pour les autres et protège bien ton âme
Trop de pensées qui me parlent, j'me perds un peu dans le bruit
J'décompense dans le silence un peu dépassé par mon esprit
J'me répète, le temps passera, ainsi-
Partiront les soucis, j'vis comme si j'étais invincible
Les yeux fixés sur la cible, comme si j'étais marqué au front
Si j'le fais, on ira jusqu'au bout, si je plonge, on ira jusqu'au fond
J'me confonds mais qu'est-ce qu'on fout ici-bas
Si la Mort semble si douce c'est que la vie ne nous réussit pas
Et si le temps me semble court, alourdir chaque jour
Les pupilles tremblent dans le noir, la Lune éclaircit le parcours
À la merci de nos vœux
Pour s'exhausser juste un peu-
Plus que les autres, on prie les Cieux
On regarde en haut
Une âme enfermée dans la peau-
D'un humain, nos mains jointes, on ferme les yeux
L'espoir nous maintient ici-bas, à chaque pas
Qu'on croit en Dieu, qu'on croit en rien
On s'réconforte avec les siens, peu importe le moyen
Faut qu'on s'en sorte jusqu'à la fin de la nuit (Ouais)
Trop de mauvais rêves, ici, trop de mauvais rêves
Trouve un moyen pour te sauver avant d'aider les autres
On le saurait si la vie essayait d'être juste
Donc pour ceux infortunés, moi, j'lève mon verre à la vôtre
En dépit des Hommes, la voix des anges est déformée
D'ici-bas, leur chant nous semble toujours tellement juste
La Mort avorte, les anges chantent une ode à la vie
Le temps emporte nos souvenirs au bout de la nuit
Jusqu'au bout de la nuit (Ouais)
Jusqu'à la fin de la nuit (Hein)
Au bout de la nuit (Ouais)
J'décompense dans le silence un peu dépassé par mon esprit
J'me répète, le temps passera ainsi-
Partiront les soucis, j'vis comme si j'étais invincible
Les yeux fixés sur la cible, comme si j'étais marqué au front
Si j'le fais, on ira jusqu'au bout, si je plonge, on ira jusqu'au fond
J'me confonds mais qu'est-ce qu'on fout ici-bas
Si la Mort semble si douce c'est que la vie ne nous réussit pas
On détruit ou on trahit ce que l'on craint ou c'qu'on envie
La Mort avorte, les Anges chantent une ode à la vie
Tous prient que le vent apporte leur mélodie
Le temps emporte nos souvenirs jusqu'au bout de la nuit
Trop de mauvais rêves ici, trop de mauvais rêves
Trouve un moyen pour te sauver avant d'aider les autres
On le saurait si la vie essayait d'être juste
Donc pour ceux infortunés, moi j'lève mon verre à la vôtre
En dépit des hommes, la voix des anges est déformée
D'ici-bas, leur chant nous semble toujours tellement juste
J'ai le viseur sur la Lune
L'œil en sang derrière la lunette
Mèche allumée, j'brûle l'amertume pour y voir un peu plus net
Aucune place pour le doute une fois monté sur la tribune
Toujours rester confiant, rester conscient d'tes attributs
Être sommé par le Ciel, assommé par le Soleil
Être assommé par le sommeil mais poursuivre tout c'qui nous tue
C'est le propre de l'Homme (C'est le propre de l'Homme)
Voir la beauté dans la cruauté
C"est le propre des Anges (le propre des Anges)
Donc rien ne sert de pleurer sur ton sort
J'me réconforte en attendant que les temps changent
Tu sens le vent qui s'agite venir balayer nos cendres
J'ai mal au ventre, ici-bas, t'façons y'a plus rien à attendre
J'veux entendre l'appel des Anges, bien qu'ils observent en silence
Nous laissent souffrir, gentiment, le cœur enchaîné au ciment
On s'immole pour devenir cendres, on s'envole
On simule un Paradis sur Terre
On brûle nos ailes, on s'éclaire
On comprend pas, le Ciel est silencieux et personne nous écoutera
On goûte au vice, on pèse le pour, le contre
Et on s'demande ce que tout ça nous coûtera
Donc on réveille le monstre, on voit plus le bout d'la route
Mais j'me rassure, j'me convainc qu'au final j'en ai rien à foutre
Les blessures, on encaisse, on endure, vas-y laisse
J't'ai dit j'en ai rien à foutre
Regarde bien où tu marches (Ouais)
Le chemin le plus simple est souvent celui vers les flammes
Accélère la cadence, reste pas trop longtemps à la marge
Te perds pas pour les autres et protège bien ton âme
Trop de pensées qui me parlent, j'me perds un peu dans le bruit
J'décompense dans le silence un peu dépassé par mon esprit
J'me répète, le temps passera, ainsi-
Partiront les soucis, j'vis comme si j'étais invincible
Les yeux fixés sur la cible, comme si j'étais marqué au front
Si j'le fais, on ira jusqu'au bout, si je plonge, on ira jusqu'au fond
J'me confonds mais qu'est-ce qu'on fout ici-bas
Si la Mort semble si douce c'est que la vie ne nous réussit pas
Et si le temps me semble court, alourdir chaque jour
Les pupilles tremblent dans le noir, la Lune éclaircit le parcours
À la merci de nos vœux
Pour s'exhausser juste un peu-
Plus que les autres, on prie les Cieux
On regarde en haut
Une âme enfermée dans la peau-
D'un humain, nos mains jointes, on ferme les yeux
L'espoir nous maintient ici-bas, à chaque pas
Qu'on croit en Dieu, qu'on croit en rien
On s'réconforte avec les siens, peu importe le moyen
Faut qu'on s'en sorte jusqu'à la fin de la nuit (Ouais)
Trop de mauvais rêves, ici, trop de mauvais rêves
Trouve un moyen pour te sauver avant d'aider les autres
On le saurait si la vie essayait d'être juste
Donc pour ceux infortunés, moi, j'lève mon verre à la vôtre
En dépit des Hommes, la voix des anges est déformée
D'ici-bas, leur chant nous semble toujours tellement juste
La Mort avorte, les anges chantent une ode à la vie
Le temps emporte nos souvenirs au bout de la nuit
Jusqu'au bout de la nuit (Ouais)
Jusqu'à la fin de la nuit (Hein)
Au bout de la nuit (Ouais)
Credits
Writer(s): Min-sung Ko
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