silence
J'ai montré ma tête à deux trois types
Ils ont vu ce que j'avais dans les yeux
Un jour, mon prénom ferra les gros titres
Pour ça j'ai jeté tous mes doutes dans le feu
J'avais le syndrome de la page blanche
J'l'ai prit par la gorge j'lui ai fait cracher des mots
Retiens bien c'est moi qui gère mon inspiration
Toujours plus loin j'irais toujours plus haut
J'écris sans avoir de mélo dans les oreilles
Pas besoin d'aide moi j'ai pas besoin de pollen
Juste mes 8h de sommeil un peu de miel et café au réveil
Besoin de voir un ciel blanc comme Isha
Mon cœur s'est encore emballé
J'ai croqué le fruit interdit comme Eva
J'ai le démon qui sort chaque fois que je me laisse aller
La solitude, ça peut tuer quelqu'un moi elle m'a redonné la vie
Perdu dans la foule comme dans une botte de foin j'ai dû m'éloigner de la ville
La feuille blanche perd un peu de sa pureté chaque fois que j'y pose mes larmes
A l'intérieur de moi je me recharge
J'peux désactiver l'alarme
Une génération pourrie par l'écran bleu même moi je tombe dans le piège
Des connards en costards qui nous regardent charbonner
Le cul posé sur leurs chaises
Ils ne captent pas l'ampleur du projet
C'est tout ce qui me garde éveillé
On m'a fait comprendre que je n'avais pas les bonnes origines
Et que je devrais même pas espérer
Partir et laisser ses problèmes derrière soi,
j'ai capté que c'étaient pas des bons bails
Tu peux faire comme si tu ne le voyais pas le train reviendra sur les rails
Le jour où j'ai compris que c'étaient les silences
Qui donnaient vie aux plus belles mélodies
J'ai accepté qu'à certains moments
J'préfère te regarder dans les yeux sans rien dire
Le jour où j'ai compris que c'étaient les silences
Qui donnaient vie aux plus belles mélodies
J'ai accepté qu'à certains moments
J'préfère te regarder dans les yeux sans rien dire
Tout ce qui brille n'est pas de l'or
Tout ce qui crie n'est pas fort
Dans mes chansons y'a de l'amour
Dans mes dessins y'a la mort
J'suis polyvalent un vrai couteau Suisse
Je m'arrêterais pas à une discipline
Quand j'vois la lumière j'ai les yeux qui plissent
J'suis sur la terre les autres à l'usine
Comme Népal je vis mon rêve en silence
J'veux l'eau de Jouvence et encore avoir soif
J'ai rien à faire de mieux de mon vivant
Autant bien faire le taff
Pour moi de la thérapie
Pour toi c'est de l'art
Ils ont vu ce que j'avais dans les yeux
Un jour, mon prénom ferra les gros titres
Pour ça j'ai jeté tous mes doutes dans le feu
J'avais le syndrome de la page blanche
J'l'ai prit par la gorge j'lui ai fait cracher des mots
Retiens bien c'est moi qui gère mon inspiration
Toujours plus loin j'irais toujours plus haut
J'écris sans avoir de mélo dans les oreilles
Pas besoin d'aide moi j'ai pas besoin de pollen
Juste mes 8h de sommeil un peu de miel et café au réveil
Besoin de voir un ciel blanc comme Isha
Mon cœur s'est encore emballé
J'ai croqué le fruit interdit comme Eva
J'ai le démon qui sort chaque fois que je me laisse aller
La solitude, ça peut tuer quelqu'un moi elle m'a redonné la vie
Perdu dans la foule comme dans une botte de foin j'ai dû m'éloigner de la ville
La feuille blanche perd un peu de sa pureté chaque fois que j'y pose mes larmes
A l'intérieur de moi je me recharge
J'peux désactiver l'alarme
Une génération pourrie par l'écran bleu même moi je tombe dans le piège
Des connards en costards qui nous regardent charbonner
Le cul posé sur leurs chaises
Ils ne captent pas l'ampleur du projet
C'est tout ce qui me garde éveillé
On m'a fait comprendre que je n'avais pas les bonnes origines
Et que je devrais même pas espérer
Partir et laisser ses problèmes derrière soi,
j'ai capté que c'étaient pas des bons bails
Tu peux faire comme si tu ne le voyais pas le train reviendra sur les rails
Le jour où j'ai compris que c'étaient les silences
Qui donnaient vie aux plus belles mélodies
J'ai accepté qu'à certains moments
J'préfère te regarder dans les yeux sans rien dire
Le jour où j'ai compris que c'étaient les silences
Qui donnaient vie aux plus belles mélodies
J'ai accepté qu'à certains moments
J'préfère te regarder dans les yeux sans rien dire
Tout ce qui brille n'est pas de l'or
Tout ce qui crie n'est pas fort
Dans mes chansons y'a de l'amour
Dans mes dessins y'a la mort
J'suis polyvalent un vrai couteau Suisse
Je m'arrêterais pas à une discipline
Quand j'vois la lumière j'ai les yeux qui plissent
J'suis sur la terre les autres à l'usine
Comme Népal je vis mon rêve en silence
J'veux l'eau de Jouvence et encore avoir soif
J'ai rien à faire de mieux de mon vivant
Autant bien faire le taff
Pour moi de la thérapie
Pour toi c'est de l'art
Credits
Writer(s): Léopold Meskens
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