Ville lumière - L.A. Session
Paris, ville lumière
Au grand pays des droits de l'homme
Le droit de t'endormir par terre
Quand ta vie aura pris la forme
D'un grand désastre humanitaire
Dans le cratère de la misère
Dans la chute libre et amère
Des hommes arrêtés
Ici, l'enfer n'est pas sous terre
Car sous la terre, il fait plus chaud
Il fait plus doux passer la nuit
Dans les artères du métro
Un peu comme un ver solitaire
Dans les boyaux d'un ventre ouvert
Dans la chute libre et amère
Des hommes arrêtés
Huit fois plus seul que mon chien
Et six fois plus sale que lui
La rue t'a donné son parfum
Et la couleur de tes habits
Une huit-six au creux des mains
Remplace l'amour de ta mère
Dans la chute libre et amère
Des hommes arrêtés
Et ceux qui courent n'ont pas le temps
Ni l'envie de te regarder
Être tout ce à quoi les gens
N'ont pas envie de ressembler
Quelques centimes au creux des mains
Soulagent les consciences blêmes
Qui redoutent la chute amère
Des hommes arrêtés
Je voudrais demander pardon
Je voudrais me faire acquitter
Quand l'indifférence répond
À la fin de la dignité
Des éternels vagabonds
Qui font du camping à la Seine
Dans leur chute libre et amère
Le temps s'est arrêté
Au grand pays des droits de l'homme
Le droit de t'endormir par terre
Quand ta vie aura pris la forme
D'un grand désastre humanitaire
Dans le cratère de la misère
Dans la chute libre et amère
Des hommes arrêtés
Ici, l'enfer n'est pas sous terre
Car sous la terre, il fait plus chaud
Il fait plus doux passer la nuit
Dans les artères du métro
Un peu comme un ver solitaire
Dans les boyaux d'un ventre ouvert
Dans la chute libre et amère
Des hommes arrêtés
Huit fois plus seul que mon chien
Et six fois plus sale que lui
La rue t'a donné son parfum
Et la couleur de tes habits
Une huit-six au creux des mains
Remplace l'amour de ta mère
Dans la chute libre et amère
Des hommes arrêtés
Et ceux qui courent n'ont pas le temps
Ni l'envie de te regarder
Être tout ce à quoi les gens
N'ont pas envie de ressembler
Quelques centimes au creux des mains
Soulagent les consciences blêmes
Qui redoutent la chute amère
Des hommes arrêtés
Je voudrais demander pardon
Je voudrais me faire acquitter
Quand l'indifférence répond
À la fin de la dignité
Des éternels vagabonds
Qui font du camping à la Seine
Dans leur chute libre et amère
Le temps s'est arrêté
Credits
Writer(s): Alexis Djoshkounian (alexis Hk)
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