J'avais pas compris
J'avais pas compris
Julien Eynard
Je regardais le ciel je n'ai vu ni mes pieds
Ni les lieux inconnus où ils m'ont entraîné
Je regardais au loin et je n'ai pas su voir
Les sourires d'à côté qui éclairent les soirs
A regarder mon nombril j'étais trop occupé
Je n'ai pas vu les yeux qui se sont détournés
Je n'ai pas vu non plus juste à portée de main
Les lueurs bleutées posées sur mon chemin
J'avais pas compris
Qu' c'est pas forcément
Facile
D'ouvrir les yeux
J'avais patiemment
Compté sur mes cils
J'en ris
Maintenant un peu
Je regardais les feux d'artifice les flashes
Lumières éblouissantes qu'on nous jette à la face
Je n'ai pas vu du coup des centaines de fois
Les regards bienveillants qui se posaient sur moi
Je n'ai toujours pas vu les étincelles fluettes
Du fond de nos yeux noirs ou bleus
Les étoiles qui filent au travers de ma tête
Je n'ai pas vu dans l'ombre l'incroyable beauté
Qui se révèle à ceux qui savent regarder
J'avais pas compris
Qu' c'est pas forcément
Facile
D'ouvrir les yeux
J'avais patiemment
Compté sur mes cils
J'en ris
Maintenant un peu
J'ai voulu faire une pause reposer mes rétines
Juste fermer les yeux enclencher la sourdine
Reposer mon regard assis sur un banc
Et ne plus penser à rien au moins un instant
Mais des lumières tenaces incrustées dans la peau
De mes paupières fermées continuent leur boulot
Aiguillonnent ma tête et titillent mon âme
Emprisonnent ma vue dans le feu de leurs flammes
Julien Eynard
Je regardais le ciel je n'ai vu ni mes pieds
Ni les lieux inconnus où ils m'ont entraîné
Je regardais au loin et je n'ai pas su voir
Les sourires d'à côté qui éclairent les soirs
A regarder mon nombril j'étais trop occupé
Je n'ai pas vu les yeux qui se sont détournés
Je n'ai pas vu non plus juste à portée de main
Les lueurs bleutées posées sur mon chemin
J'avais pas compris
Qu' c'est pas forcément
Facile
D'ouvrir les yeux
J'avais patiemment
Compté sur mes cils
J'en ris
Maintenant un peu
Je regardais les feux d'artifice les flashes
Lumières éblouissantes qu'on nous jette à la face
Je n'ai pas vu du coup des centaines de fois
Les regards bienveillants qui se posaient sur moi
Je n'ai toujours pas vu les étincelles fluettes
Du fond de nos yeux noirs ou bleus
Les étoiles qui filent au travers de ma tête
Je n'ai pas vu dans l'ombre l'incroyable beauté
Qui se révèle à ceux qui savent regarder
J'avais pas compris
Qu' c'est pas forcément
Facile
D'ouvrir les yeux
J'avais patiemment
Compté sur mes cils
J'en ris
Maintenant un peu
J'ai voulu faire une pause reposer mes rétines
Juste fermer les yeux enclencher la sourdine
Reposer mon regard assis sur un banc
Et ne plus penser à rien au moins un instant
Mais des lumières tenaces incrustées dans la peau
De mes paupières fermées continuent leur boulot
Aiguillonnent ma tête et titillent mon âme
Emprisonnent ma vue dans le feu de leurs flammes
Credits
Writer(s): Julien Eynard
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