SAUVER
J'ai les souvenirs de la veille
Au loin la ville lumière m'appelle
Ma rancoeur se noie dans la seine
Je n'ai vu que mon ombre soigner mes séquelles
Pris dans l'émotion j'ai taillé
J'ai pansé mon cœur dans les favélas
J'ai crée mon monde c'est un paradise ou tu pourra exister même sans...
Pris dans la spirale je voulais pas sombrer
Rongé par les normes, j'ai déjà donné
Les jours se ressemble dis moi ou je vais
Tu sens et je le sens la lumière me guette
Construits en étant sur mes gardes
L'anxiété me gene à chacun de mes écarts
Dans un coin de ma tête j'accumule les épaves de vérités non-dites
Pour qu'enfin elles éclatent
Sans me sauver
Si tu savais
À quel point je doute
Si tu savais
Sans me sauver
Sans me sauver
Si tu savais
J'ai connu la fougue
Si tu savais
Sans me sauver
Ma politesse est hypocrite plus je souris et plus je m'égare
L'état d'ivresse le temps d'une nuit pour oublier c'qui nous sépare...
Les cernes se creusent d'insomnie
Epris des désirs périssables
Tellement si vainement
Jusqu'à l'Aube sans sous vêtement
Absent ou évasif, la mine est pâle et vide
Autour de moi les gens sont immobiles
J'attends j'attends j'attends des signes
Soif de réussite ou soif découverte
Une lock de tristesse remplir de désir avide
Je t'ai demandé ton avis pour ravir la flamme
Mais je sais pas quoi en faire
L'écart qui se creuse laisse des séquelles brûlé à vif
Sans me sauver
Si tu savais
À quel point je doute
Si tu savais
Sans me sauver
Sans me sauver
Si tu savais
J'ai connu la fougue
Si tu savais
Sans me sauver
Au loin la ville lumière m'appelle
Ma rancoeur se noie dans la seine
Je n'ai vu que mon ombre soigner mes séquelles
Pris dans l'émotion j'ai taillé
J'ai pansé mon cœur dans les favélas
J'ai crée mon monde c'est un paradise ou tu pourra exister même sans...
Pris dans la spirale je voulais pas sombrer
Rongé par les normes, j'ai déjà donné
Les jours se ressemble dis moi ou je vais
Tu sens et je le sens la lumière me guette
Construits en étant sur mes gardes
L'anxiété me gene à chacun de mes écarts
Dans un coin de ma tête j'accumule les épaves de vérités non-dites
Pour qu'enfin elles éclatent
Sans me sauver
Si tu savais
À quel point je doute
Si tu savais
Sans me sauver
Sans me sauver
Si tu savais
J'ai connu la fougue
Si tu savais
Sans me sauver
Ma politesse est hypocrite plus je souris et plus je m'égare
L'état d'ivresse le temps d'une nuit pour oublier c'qui nous sépare...
Les cernes se creusent d'insomnie
Epris des désirs périssables
Tellement si vainement
Jusqu'à l'Aube sans sous vêtement
Absent ou évasif, la mine est pâle et vide
Autour de moi les gens sont immobiles
J'attends j'attends j'attends des signes
Soif de réussite ou soif découverte
Une lock de tristesse remplir de désir avide
Je t'ai demandé ton avis pour ravir la flamme
Mais je sais pas quoi en faire
L'écart qui se creuse laisse des séquelles brûlé à vif
Sans me sauver
Si tu savais
À quel point je doute
Si tu savais
Sans me sauver
Sans me sauver
Si tu savais
J'ai connu la fougue
Si tu savais
Sans me sauver
Credits
Writer(s): Hugaux Solaire
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