Ce que l'on est
Sous le bleu du ciel
On le trouve allongé
Dégustant un bonheur gratuit
Il est à l'apogée
De son moral doré
Trouvant sa floraison
Au retour de la belle saison
Quand la question lui vient en tête
Très vite, il renonce
À espérer pouvoir trouver
Enfin la réponse
Il passerait ses jours autrement
Si il était né plus vaillant
On n'est, jamais que ce que l'on est
Du matin jusqu'au soir
Il se tourne à droite à gauche
Heure après heure il attend
Que la fraîcheur approche
À ce moment dans sa tête
Les idées s'immiscent
Tout ce qu'il voudrait faire au moment propice
Les yeux dans les nuages
Il s'y imagine, en attendant
Pour se lancer une bonne fois
Que les poules aient des dents
Il referait le monde entier
Avec un peu de volonté
On n'est, jamais que ce que l'on est
Mais quand il entend au loin
Que d'un coup la rue gronde
Il rentre se mettre au frais
Pour quelques secondes
Caché derrière ses rideaux
Il guette dans l'attente
Que l'ambiance soit un peu plus plaisante
Puis il balaye la gêne
De leur offrir au mieux
Sur les requêtes qu'il partage
Un soutien silencieux
Il irait bien remplir leurs rangs
Si il était né différent
On n'est jamais que ce que l'on est
Et voilà que passe là-bas
Une demoiselle
Il aimerait alors se
Sentir pousser du zèle
Il cherche l'impulsion
Mais se perd et frisonne
Seulement en rêvasseries polissonnes,
Alors à l'angle de la rue
Il la regarde partir
Un autre pincement au cœur
Comme seul souvenir
Il en ferait des ravages
Si il s'en sentait le courage
On n'est, jamais que ce que l'on est
Quand les gros nuages noirs
Au-dessus de lui s'amassent
Proposant aux plus téméraires
De boire une tasse
Il fait le choix de troquer
La douceur du jardin
Contre la tendresse d'un coussin
Mais rapidement, à la fenêtre
Il observe avec peine
Dans la crainte que très bientôt
Les beaux jours ne reviennent
Il le vivrait sans doute mieux
Si il était né courageux
On n'est, jamais que ce que l'on est
Sous le bleu du ciel
On le retrouve allongé
Les beaux jours revenus
Il est à l'apogée
De son moral doré
Trouvant sa floraison
Dans le confort de l'inambition
Inquiet des regrets à venir
Il cherche la réponse
Sa vie se retrouverait-elle
Améliorée d'une once
Si dans un grand coup de chapeau
Il feignait de changer de peau
Pour être autre chose, que ce qu'il est
Si dans un grand coup de chapeau
Il feignait de changer de peau
On n'est, jamais que ce que l'on est
On le trouve allongé
Dégustant un bonheur gratuit
Il est à l'apogée
De son moral doré
Trouvant sa floraison
Au retour de la belle saison
Quand la question lui vient en tête
Très vite, il renonce
À espérer pouvoir trouver
Enfin la réponse
Il passerait ses jours autrement
Si il était né plus vaillant
On n'est, jamais que ce que l'on est
Du matin jusqu'au soir
Il se tourne à droite à gauche
Heure après heure il attend
Que la fraîcheur approche
À ce moment dans sa tête
Les idées s'immiscent
Tout ce qu'il voudrait faire au moment propice
Les yeux dans les nuages
Il s'y imagine, en attendant
Pour se lancer une bonne fois
Que les poules aient des dents
Il referait le monde entier
Avec un peu de volonté
On n'est, jamais que ce que l'on est
Mais quand il entend au loin
Que d'un coup la rue gronde
Il rentre se mettre au frais
Pour quelques secondes
Caché derrière ses rideaux
Il guette dans l'attente
Que l'ambiance soit un peu plus plaisante
Puis il balaye la gêne
De leur offrir au mieux
Sur les requêtes qu'il partage
Un soutien silencieux
Il irait bien remplir leurs rangs
Si il était né différent
On n'est jamais que ce que l'on est
Et voilà que passe là-bas
Une demoiselle
Il aimerait alors se
Sentir pousser du zèle
Il cherche l'impulsion
Mais se perd et frisonne
Seulement en rêvasseries polissonnes,
Alors à l'angle de la rue
Il la regarde partir
Un autre pincement au cœur
Comme seul souvenir
Il en ferait des ravages
Si il s'en sentait le courage
On n'est, jamais que ce que l'on est
Quand les gros nuages noirs
Au-dessus de lui s'amassent
Proposant aux plus téméraires
De boire une tasse
Il fait le choix de troquer
La douceur du jardin
Contre la tendresse d'un coussin
Mais rapidement, à la fenêtre
Il observe avec peine
Dans la crainte que très bientôt
Les beaux jours ne reviennent
Il le vivrait sans doute mieux
Si il était né courageux
On n'est, jamais que ce que l'on est
Sous le bleu du ciel
On le retrouve allongé
Les beaux jours revenus
Il est à l'apogée
De son moral doré
Trouvant sa floraison
Dans le confort de l'inambition
Inquiet des regrets à venir
Il cherche la réponse
Sa vie se retrouverait-elle
Améliorée d'une once
Si dans un grand coup de chapeau
Il feignait de changer de peau
Pour être autre chose, que ce qu'il est
Si dans un grand coup de chapeau
Il feignait de changer de peau
On n'est, jamais que ce que l'on est
Credits
Writer(s): Alexandre Nedjari
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