Constance, épilogue

Un mois de janvier
Un nouveau lundi
Le coeur qui soupire
Le métro bondé
Des pas sous la pluie
Où sont les sourires

La vitre et son reflet
Personne pour faire le pitre
Les portes sont fermées
L'espace est trop étroit
On coupe ce qui dépasse
Et on la vouvoie

Le téléphone a sonné
Qu'elle est déjà dans la rue
Sur un chemin qu'elle connaît
Y'a comme un air de déjà-vu
Les pas se font plus rapides
Et la vie reprend son sens
Plus de manque et plus de vide
La porte s'ouvre et c'est Constance



Credits
Writer(s): Nicolas Wurtz
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