LES LARMES DU SOLEIL
A l'heure où le soleil embrase la ville
Le fou sur la colline contemple la fresque
Mais l'éclat de l'atteint plus
La ville prend feu
Brouillard, chaos
On dit que le cœur bat toujours plus fort devant l'océan
Le fou sur la colline ferme les yeux
A l'heure où le ciel embrase la ville
Quelques oiseaux dansent par la vitre
Une demie-clope, un tel cassé
Des rimes j'arrête pas d'effacer
Plus trop de réseau, j'suis loin des autres
C'est comme si j'entendais que les échos
Du haut de ma tour j'observe le monde
Il tourne un peu plus chaque seconde
Ces derniers temps j'ai peu sommeil
Faut que je trouve un moyen de faire de l'oseille
Cherche l'infini dans mes poèmes
Mais y'a que tes sanglots qui reviennent
Ici les jours se ressemblent
Et y'a plus grand chose que je ressens
Mais pourquoi cette malédiction?
Personne m'a dit que ce serait si long
J'ai déjà fait le tour des environs
Bientôt les oiseaux partiront
J'sais pas trop où, vers les sémaphores
J'regarderai sûrement encore
Mais loin de moi-même, loin des miens
Loin de ce tieks que j'connais si bien
Au fond de mon cœur ça fait des mois
J'me dit que demain c'est le grand départ
Les larmes du soleil
A l'heure où le ciel embrase la ville
Les oiseaux ne dansent plus par la vitre
Le mégot fume dans le cendrier
Des rêves qui finiront par s'effacer
Mais loin là-bas à l'horizon
Quelque chose m'attend forcément
Là où Les larmes forment l'océan
Là où le soleil pleure doucement
Le fou sur la colline contemple la fresque
Mais l'éclat de l'atteint plus
La ville prend feu
Brouillard, chaos
On dit que le cœur bat toujours plus fort devant l'océan
Le fou sur la colline ferme les yeux
A l'heure où le ciel embrase la ville
Quelques oiseaux dansent par la vitre
Une demie-clope, un tel cassé
Des rimes j'arrête pas d'effacer
Plus trop de réseau, j'suis loin des autres
C'est comme si j'entendais que les échos
Du haut de ma tour j'observe le monde
Il tourne un peu plus chaque seconde
Ces derniers temps j'ai peu sommeil
Faut que je trouve un moyen de faire de l'oseille
Cherche l'infini dans mes poèmes
Mais y'a que tes sanglots qui reviennent
Ici les jours se ressemblent
Et y'a plus grand chose que je ressens
Mais pourquoi cette malédiction?
Personne m'a dit que ce serait si long
J'ai déjà fait le tour des environs
Bientôt les oiseaux partiront
J'sais pas trop où, vers les sémaphores
J'regarderai sûrement encore
Mais loin de moi-même, loin des miens
Loin de ce tieks que j'connais si bien
Au fond de mon cœur ça fait des mois
J'me dit que demain c'est le grand départ
Les larmes du soleil
A l'heure où le ciel embrase la ville
Les oiseaux ne dansent plus par la vitre
Le mégot fume dans le cendrier
Des rêves qui finiront par s'effacer
Mais loin là-bas à l'horizon
Quelque chose m'attend forcément
Là où Les larmes forment l'océan
Là où le soleil pleure doucement
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