La bataille de Montessor
Froide et noire surgissante, condamnant au trépas
Le vil seigneur trop fier, prompt à la menterie
Dont le crane fut violemment brisé en éclat
œuvre du renégat, accusé de tricherie
Le prix du sang pour l'honneur du juste bafoué
La cour de Charlemagne, brillante d'écarlate
A jamais furent bannis, les frères parjurés
Quand leur père renia sa lignée en grande hâte
Face au courroux du sale serviteur de la croix
Accablant la fratrie en un exil lointain
La volonté païenne supérieure à la foi
Pour contrer la couronne, se défia du suzerain
Par sortilèges impie, de goétie surgirent
De quartz et de magie les murs de Montessor
Château des parias, moquant le saint Empire
Résonnaient les épées, du coucher à l'aurore
Et sous les hauts remparts, os et chaires tailladés
Massifs d'ardoise suintants, d'une ode sanguinolente
Fraternisèrent les morts, d'une aubade d'âpreté
Transmutant les corps dans une orgie d'épouvante
Vers naissants dans la viscosité des occis
Nageaient dans la moelle et, conspirèrent dans l'ivraie
Assaillant les plus braves, par des idiomes maudits
Dans la déliquescence, vils félons fomentaient
Il n'est point de victoires, au traitre et délateur
En usant de malice, souriant dans le noir
Confessant ses méfaits, au corbeau fossoyeur
Quand d'une lame dans le cœur, chuta au purgatoire
Mais le mal accompli, avait fait son office
Et ainsi Montessor, à jamais fut détruit
Quand l'empereur des francs, entra dans la bâtisse
Les quatre fils Aymon, disparurent dans la nuit
Le vil seigneur trop fier, prompt à la menterie
Dont le crane fut violemment brisé en éclat
œuvre du renégat, accusé de tricherie
Le prix du sang pour l'honneur du juste bafoué
La cour de Charlemagne, brillante d'écarlate
A jamais furent bannis, les frères parjurés
Quand leur père renia sa lignée en grande hâte
Face au courroux du sale serviteur de la croix
Accablant la fratrie en un exil lointain
La volonté païenne supérieure à la foi
Pour contrer la couronne, se défia du suzerain
Par sortilèges impie, de goétie surgirent
De quartz et de magie les murs de Montessor
Château des parias, moquant le saint Empire
Résonnaient les épées, du coucher à l'aurore
Et sous les hauts remparts, os et chaires tailladés
Massifs d'ardoise suintants, d'une ode sanguinolente
Fraternisèrent les morts, d'une aubade d'âpreté
Transmutant les corps dans une orgie d'épouvante
Vers naissants dans la viscosité des occis
Nageaient dans la moelle et, conspirèrent dans l'ivraie
Assaillant les plus braves, par des idiomes maudits
Dans la déliquescence, vils félons fomentaient
Il n'est point de victoires, au traitre et délateur
En usant de malice, souriant dans le noir
Confessant ses méfaits, au corbeau fossoyeur
Quand d'une lame dans le cœur, chuta au purgatoire
Mais le mal accompli, avait fait son office
Et ainsi Montessor, à jamais fut détruit
Quand l'empereur des francs, entra dans la bâtisse
Les quatre fils Aymon, disparurent dans la nuit
Credits
Writer(s): Achéron Florian
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