Monster
Ce soir le ciel gronde, Monster sortira de la zone
Au crépuscule, crache sa haine à la chaîne comme l'usine
Déracinés, les hommes changent quand la misère t'assomme
De la poudre aux yeux, des paillettes quand le cœur hallucine
On sort tout droit des marécages, la dentition aiguisée
La proie en ligne de mire, un coup de mâchoire pour la maîtriser
Ils veulent ma peau, n'y arrivent pas, je vois leur bateau dériver
J'ai les crocs, c'est Dracula dans une soirée déguisée
On les ken sans faire le geste, tout est psychologique
J'ouvre ma gueule tous les soirs seul dans mon salon, je cogite
Tu veux faire de l'oseille? Sais-tu sucer ou faire du zèle?
Vulgaire et tendu, excusez-moi, j'apprends à être zen
Tout juste, sorti de la primaire, petit veux devenir un monster
Grandir trop vite mais ne sait pas la fermer quand il faut se taire
Et au finalement, tu gagnes que dalle, tu passes pour un imposteur
Le prédateur n'aura aucune peine s'il t'a dans le viseur
Ce soir le ciel gronde, Monster sortira de la zone
Au crépuscule, crache sa haine à la chaîne comme l'usine
Déracinés, les hommes changent quand la misère t'assomme
De la poudre aux yeux, des paillettes quand le cœur hallucine
Dans le reflet d'une lame, je vois le mal qui vient noircir la ville
Aucun regret, vague à l'âme, quitte à choisir l'asile
Je préfère partir ainsi, cible insignifiante, un signe
De faiblesse, silence, la spirale démon qui m'baratine
Choquée, t'es prévenue, morbide sera la fin du livre
L'écho d'un cri lorsque la mer reprendra l'navire
Mais pas de panique, c'est sous draps blancs qu'on retrouvera la paix
Le ventre vide, la bête crache simplement sa peine
Ça n'paie pas, mais ça soulage, c'est ce que le sage m'a dit
Si tu les cherches, les balles et l'diable sont passés par Paris
Barbaries atroces, la folie crash ta vie
Écrase ta ville, violence physique et pas d'sparring
On rentre dans l'arène, faites du bruit pour accueillir les monster
Dans l'ombre du mal, sombre atmosphère
Ce soir, le temps s'arrête, ne regardez pas vos montres
On réveille la bête quand vos yeux se ferment
On rentre dans l'arène, faites du bruit pour accueillir les monster
Dans l'ombre du mal, sombre atmosphère
Ce soir, le temps s'arrête, ne regardez pas vos montres
On réveille la bête quand vos yeux se ferment
Au crépuscule, crache sa haine à la chaîne comme l'usine
Déracinés, les hommes changent quand la misère t'assomme
De la poudre aux yeux, des paillettes quand le cœur hallucine
On sort tout droit des marécages, la dentition aiguisée
La proie en ligne de mire, un coup de mâchoire pour la maîtriser
Ils veulent ma peau, n'y arrivent pas, je vois leur bateau dériver
J'ai les crocs, c'est Dracula dans une soirée déguisée
On les ken sans faire le geste, tout est psychologique
J'ouvre ma gueule tous les soirs seul dans mon salon, je cogite
Tu veux faire de l'oseille? Sais-tu sucer ou faire du zèle?
Vulgaire et tendu, excusez-moi, j'apprends à être zen
Tout juste, sorti de la primaire, petit veux devenir un monster
Grandir trop vite mais ne sait pas la fermer quand il faut se taire
Et au finalement, tu gagnes que dalle, tu passes pour un imposteur
Le prédateur n'aura aucune peine s'il t'a dans le viseur
Ce soir le ciel gronde, Monster sortira de la zone
Au crépuscule, crache sa haine à la chaîne comme l'usine
Déracinés, les hommes changent quand la misère t'assomme
De la poudre aux yeux, des paillettes quand le cœur hallucine
Dans le reflet d'une lame, je vois le mal qui vient noircir la ville
Aucun regret, vague à l'âme, quitte à choisir l'asile
Je préfère partir ainsi, cible insignifiante, un signe
De faiblesse, silence, la spirale démon qui m'baratine
Choquée, t'es prévenue, morbide sera la fin du livre
L'écho d'un cri lorsque la mer reprendra l'navire
Mais pas de panique, c'est sous draps blancs qu'on retrouvera la paix
Le ventre vide, la bête crache simplement sa peine
Ça n'paie pas, mais ça soulage, c'est ce que le sage m'a dit
Si tu les cherches, les balles et l'diable sont passés par Paris
Barbaries atroces, la folie crash ta vie
Écrase ta ville, violence physique et pas d'sparring
On rentre dans l'arène, faites du bruit pour accueillir les monster
Dans l'ombre du mal, sombre atmosphère
Ce soir, le temps s'arrête, ne regardez pas vos montres
On réveille la bête quand vos yeux se ferment
On rentre dans l'arène, faites du bruit pour accueillir les monster
Dans l'ombre du mal, sombre atmosphère
Ce soir, le temps s'arrête, ne regardez pas vos montres
On réveille la bête quand vos yeux se ferment
Credits
Writer(s): Karnage
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2025 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.