Ma Mère
Elle aimait Chopin, Beethoven et Mozart
Elle aimait nous raconter toutes sortes d'histoires
Et quand les nuits sont longues, je la vois
Marcher déambuler son ombre
Si je pouvais lui parler ne serait-ce qu'une seule seconde
Elle aimait à contempler le ciel
Elle aimait le coucher du soleil
Elle était comme une fleur sans pareille
Ma mère, ma mère
Elle sentait le jasmin et le miel
Le parfum de ces jours éternels me revient aujourd'hui tel quel
Ma mère, ma mère
Elle aimait me dire que la vie était belle
Malgré les peurs, les épreuves et la peine
Et quand le monde s'obscurcit
Que mes tourments s'invitent en ma mémoire
J'entends sa voix résonner comme un appel à y croire
Elle aimait à contempler le ciel
Elle aimait le coucher du soleil
Elle était comme une fleur sans pareille
Ma mère, ma mère
Elle sentait le jasmin et le miel
Le parfum de ces jours éternels me revient aujourd'hui tel quel
Ma mère, ma mère
Et quand les nuits sont longues, je la vois marcher, déambuler l'ombre
Des souvenirs, du passé qui me rappelle que l'on n'est absolument rien
Que l'on retourne à la poussière, moi qui croyais ma mère à jamais immortelle
Elle était comme une fleur sans pareille
Ma mère, ma mère
Elle sentait le jasmin et le miel
Le parfum de ces jours éternels me revient aujourd'hui tel quel
Ma mère, ma mère
Oh
Elle aimait à prier l'Eternel
Ma mère, ma mère
Je la croyais si forte, immortelle
Ma mère, ma mère
Elle aimait nous raconter toutes sortes d'histoires
Et quand les nuits sont longues, je la vois
Marcher déambuler son ombre
Si je pouvais lui parler ne serait-ce qu'une seule seconde
Elle aimait à contempler le ciel
Elle aimait le coucher du soleil
Elle était comme une fleur sans pareille
Ma mère, ma mère
Elle sentait le jasmin et le miel
Le parfum de ces jours éternels me revient aujourd'hui tel quel
Ma mère, ma mère
Elle aimait me dire que la vie était belle
Malgré les peurs, les épreuves et la peine
Et quand le monde s'obscurcit
Que mes tourments s'invitent en ma mémoire
J'entends sa voix résonner comme un appel à y croire
Elle aimait à contempler le ciel
Elle aimait le coucher du soleil
Elle était comme une fleur sans pareille
Ma mère, ma mère
Elle sentait le jasmin et le miel
Le parfum de ces jours éternels me revient aujourd'hui tel quel
Ma mère, ma mère
Et quand les nuits sont longues, je la vois marcher, déambuler l'ombre
Des souvenirs, du passé qui me rappelle que l'on n'est absolument rien
Que l'on retourne à la poussière, moi qui croyais ma mère à jamais immortelle
Elle était comme une fleur sans pareille
Ma mère, ma mère
Elle sentait le jasmin et le miel
Le parfum de ces jours éternels me revient aujourd'hui tel quel
Ma mère, ma mère
Oh
Elle aimait à prier l'Eternel
Ma mère, ma mère
Je la croyais si forte, immortelle
Ma mère, ma mère
Credits
Writer(s): Valérie Bozon-verduraz
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