tu me regardais chanter (demo)
Tu me regardais chanter
À la table bien accoté
J'évite ton regard
Il fait bien trop froid dehors
Chaque mot bien prononcé
Chaque parole ensorcelée
Ne sont qu'or qu'à tes oreilles
Un quatre minutes intemporelles
Mais moi
Je sais bien mieux que ça
J'ai pas la pensée irrationnelle
Pas tombée du septième ciel
Pour toi
Tu cours
Tu cours comme si on te court après
Comme si à la fin je t'attendrais
Un refrain j'écrirais
Pour toi
Quand tu me regardais chanter
Tu n'aurais pas pu t'en douter
J'ai la voix qui tranche
Expressions qui dérangent
Des façons de vivre si difficiles à suivre
Et si je me mettais à danser
Tu ne pourrais t'empêcher d'oublier
Mes mots qui tuent
Ton visage si déçu
Des gens aimés qui ne font que passer
Quart de lune sous les étoiles
Répètent souvent des voix de sages
Des chants pour les déesses
Un million d'éclairs en détresse
Constantinople jusqu'à Beaumont
Des amants s'embrassent sous les ponts
Longue robe à boutonner
De poèmes d'amours vandalisés
Mais moi
J'ai déjà vu bien pire que ça
Il y a des guerres qui rendent les âmes mortes
Des chicanes qui claquent des portes
Sans pourquoi
Tu m'aimes
M'aimes comme si tu me connaissais
Comme si à la fin je t'attendrais
Un refrain, je t'écrirais
Sans pourquoi
Quand tu me regardais chanter
Tu n'aurais pas pu t'en douter
J'ai la voix qui tranche
Expressions qui dérangent
Des façons de vivre si difficiles à suivre
Et si je me mettais à danser
Tu ne pourrais t'empêcher d'oublier
Mes mots qui tuent
Ton visage si déçu
Des gens aimés qui ne font que passer
Je me suis menti à moi-même
La bêtise si humaine
Vouloir être normale
J'ai parlé trop vite
Sans me soucier de la suite
Jusqu'à faire du mal
Bouts de doigts abîmés
Jouent sur cordes accordées
Une mélodie cruelle
Tes yeux captivés
Ne pouvaient pas t'indiquer
Que je chantais pour elle
Quand tu me regardais chanter
Je ne pouvais m'empêcher de penser
A son rire qui fleurit
Le paysage tout gris
Ses yeux en nuages
Son nom sur toutes les pages
Et si elle se mettait à danser
Ta présence me serait vite oubliée
Pour son ironie
Mes scénarios de vie
Des gens aimés qui ne font que passer
À la table bien accoté
J'évite ton regard
Il fait bien trop froid dehors
Chaque mot bien prononcé
Chaque parole ensorcelée
Ne sont qu'or qu'à tes oreilles
Un quatre minutes intemporelles
Mais moi
Je sais bien mieux que ça
J'ai pas la pensée irrationnelle
Pas tombée du septième ciel
Pour toi
Tu cours
Tu cours comme si on te court après
Comme si à la fin je t'attendrais
Un refrain j'écrirais
Pour toi
Quand tu me regardais chanter
Tu n'aurais pas pu t'en douter
J'ai la voix qui tranche
Expressions qui dérangent
Des façons de vivre si difficiles à suivre
Et si je me mettais à danser
Tu ne pourrais t'empêcher d'oublier
Mes mots qui tuent
Ton visage si déçu
Des gens aimés qui ne font que passer
Quart de lune sous les étoiles
Répètent souvent des voix de sages
Des chants pour les déesses
Un million d'éclairs en détresse
Constantinople jusqu'à Beaumont
Des amants s'embrassent sous les ponts
Longue robe à boutonner
De poèmes d'amours vandalisés
Mais moi
J'ai déjà vu bien pire que ça
Il y a des guerres qui rendent les âmes mortes
Des chicanes qui claquent des portes
Sans pourquoi
Tu m'aimes
M'aimes comme si tu me connaissais
Comme si à la fin je t'attendrais
Un refrain, je t'écrirais
Sans pourquoi
Quand tu me regardais chanter
Tu n'aurais pas pu t'en douter
J'ai la voix qui tranche
Expressions qui dérangent
Des façons de vivre si difficiles à suivre
Et si je me mettais à danser
Tu ne pourrais t'empêcher d'oublier
Mes mots qui tuent
Ton visage si déçu
Des gens aimés qui ne font que passer
Je me suis menti à moi-même
La bêtise si humaine
Vouloir être normale
J'ai parlé trop vite
Sans me soucier de la suite
Jusqu'à faire du mal
Bouts de doigts abîmés
Jouent sur cordes accordées
Une mélodie cruelle
Tes yeux captivés
Ne pouvaient pas t'indiquer
Que je chantais pour elle
Quand tu me regardais chanter
Je ne pouvais m'empêcher de penser
A son rire qui fleurit
Le paysage tout gris
Ses yeux en nuages
Son nom sur toutes les pages
Et si elle se mettait à danser
Ta présence me serait vite oubliée
Pour son ironie
Mes scénarios de vie
Des gens aimés qui ne font que passer
Credits
Writer(s): Roxanne Myles-gaudreault
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