Ton nom

Je peux écrire des milliers de phrases commençants par ton nom
Ton nom je te le murmure à l'oreille
C'est rapide, d'autant plus qu'il n'y a que deux voyelles
Ton nom, est facile à prononcer un peu plus à oublier
Compliqué d'accepter, après avoir abandonné
Les 12 putains de phrases du cahier
J'étais sans voix quand on s'est vu la première fois
Mais j'ai fini par crier, ton nom
Je l'ai vesquis des millions de fois
Chaque chemin que j'ai emprunté mon amené à toi
Je sais pas si je le fais exprès ou si j'ai arrêté d'y croire
Mais la plupart de mes pensées sont dirigées vers toutes ces histoires
Et je pose des questions qui créent trou noir
Ton nom je l'ai perdu à force de le répéter
Il était pourtant simple Contrairement à ce qu'on pourrait penser

Mon texte est dar là, mais faut que je dorme (hm hm)
J'écris un carnage, sans clef de sol
Sur le carrelage, je suis loin loin du sol (hm hm)
Pas loin de la cage, faut que je me rendorme (hm)

J'aurais voulu que tu disparaisses de mes pensées et de ma vie
J'ai contemplé assez de tes gestes pour rester assise
Si le soleil dors je ne me repose pas
Si le temps est d'or je ne suis jamais dans mes draps
J'ai ouvert mon esprit le jour où j'ai eu de l'électricité dans la tête
J'aurais pu partir en vrille mais je voulais pas que ça s'arrête
J'ai plus de mal à m'endormir la nuit que le jour
J'ai ton cœur qui me cri à l'aide et ton corps qui me joue des tours

Mon texte est dar là, mais faut que je dorme (hm hm)
J'écris un carnage, sans clef de sol
Sur le carrelage, je suis loin loin du sol (hm hm)
Pas loin de la cage, faut que je me rendorme (hm)

Comme des cloches je résonne dans toute la pièce
Je stresse trop pour te dire ce que je ressens
Peut être que j'aime trop parler en lisant en même temps
L'écriture sous tous ses aspects c'est fragile, c'est tiède et léger
Un peu comme de l'eau salée, pas facile à admettre
Mais ça rafraîchi pas
C'est dans la tête, mesure le poids de ma phrase tu comprends pas

J'ai assez mis de rimes dans ma tire lire triste
J'ai donné dans le temps pour atteindre l'instant
Je sens, la peur que tu me proposes
Tend, ton oreille à ma prose
Et ça suffit pas, tu ne me demandes pas que ça
Un tout petit clin d'œil à ta manière d'être
Un petit pas de travers et je fais tout disparaître (ouais)
Un petit pas de travers

Et le ciel brûle tes pas, je brille un peu comme Sirius
Un sérieux problème de demander pardon quand j'ai pas raison
Mais je trouve quand même
Une façon de me recentrer sur moi même
Une bulle de plus que je dois percer
Un problème en plus que je dois travailler
Je suis pas bien, tu le sais bien
J'ai perdu ma patience je suis noir face au destin

Mon texte est dar là, mais faut que je dorme (hm hm)
J'écris un carnage, sans clef de sol
Sur le carrelage, je suis loin loin du sol (hm hm)
Pas loin de la cage, faut que je me rendorme (hm)



Credits
Writer(s): Marylou Baroni
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