Raptor

En manque de confiance il fut des années de ça
Faut qu'j'perpétue des années de sale
En portant le jogo', mon coeur il est trop gros
J'prends l'air les mains dans les poches de mon croco
Enchanté par l'effet du cannabis
Comme ca c'est sur jamais tu cannes à Biz'
Des pensées noires que je canalise
C'est mort plus jamais tu nous claques la biz
Pour moi y'a plus rien d'important
J'ai laissé ma veste sur le portant
Partons tant qu'il est encore temps
Blessure aussi profonde qu'une mine de coltan
Sous la Schott j'ai laissé le colt (anhh)
Un débit plus rapide que le Bolt
Entre nous je sens une tension qui pourrait être
Bien plus dangereuse que le volt (anh)
Tu pourrais m'faire mais j'suis bien plus rapide
Que ces bourrés d'merde
Tu pourrais m'plaire, j'vais pas me lancer j'suis entouré d'fer
Le sage m'a jeté sa miséricorde, trop pour lui
J'ai payé le prix de mon sang pour une femme qui est trop pourrie
J'ai le fruit de mon âme qui est trop pourri
Je dois témoigner d'mes crimes sur le barreau
M'échapper dans une île des plus dominicaines
Passer les nuits les plus torrides couplées d'allégories
'Vec une femme plutôt mi ricaine
Tu peux pas comprendre c'est l'averse nan
Tu m'fais des crasses et inversement
Le nombre de pers' et impressionnant comme
Le nombre de secret que je perce (anh)

Glissant est la pente à 10 ans
J'voulais tout gagner j'ai grandi sans
D'un coup c'est tout de suite moins appétissant
J'ai eu mes 19, et j'en suis réticent
Dans ce vide absolu
Je
Ne peux pas respirer
Un fond d'Absolut, qui laisse ma désirée
A des pensées qui laissent a désirer

Le quotidien, la joie on la fêtait
J'ai presque oublié comment c'était
La fraicheur d'la rosée de l'été
J'ai presque oublié comment t'étais
Le quotidien, la joie on la fêtait
J'ai presque oublié comment c'était
La fraicheur d'la rosée de l'été
J'ai presque oublié comment t'étais

Bien sur qu'c'est nos profits
La jeunesse s'endort au son de ses lobbys
Mais c'est nos vies, je serais dans tous les épisodes comme Kenobi
Putain de confinement qui ken' nos hobbies
Le quotidien, la joie on la fêtait
J'ai presque oublié comment c'était
La fraicheur d'la rosée de l'été
J'ai presque oublié comment t'étais
Les regards se croisaient, on se guettait
Pourquoi t'as décidé de tout arrêter
De sortir de la crise tu m'as aidé
La terre tous les jours nous allaitait
De sa bonté, d'son âme et d'sa gaieté
J'ferais tout revenir en été
De partir et plus être endetté
De ne plus voir ce qui est en TT



Credits
Writer(s): Elias Lacassin
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