Les quais
Le ciel a la même teinte que le verre que tu bois
Nos rires ont le même goût que les lumières qu'on apprivoise
Le soir est doux comme la soie
Ce soir les violons parlent pour moi
Mais les bars nous jettent
Et septembre soulève mon épiderme
C'était le verre de trop, c'était la dernière goutte
Ah que ce vin était mauvais,
Mais nous le buvions jusqu'à nous rendre saoul
Mais vivre, oh vivre quel bonheur fou!
Ce soir la nuit est à nous
Et les lumières tournent
Quand sur les quais froids débarquent le jour
J'ai dépensé sur les quais
Trop de sous, trop de soirs et d'énergie
J'ai dépensé sur les quais
Trop saoul, trop de soif et trop d'ennui
Quand le vent du nord frappe et couvre la nuit
J'y ai chopé la crève, et des milliers de rêves
Avant l'inertie
A 5h du matin la ville n'est plus la même
Les murs s'embrassent et les volets saluent la lumière
Et l'eau noir devient bleu clair.
Qu'il est beau le reflet du ciel
Dans ce miroir vivant
Soulignés par des fils d'argents
J'ai dépensé sur les quais
Trop de tout, trop de toi et de nostalgie
J'ai dépensé sur les quais
Trop fou, trop de joie et beaucoup de rires
Quand le vent du nord frappe et couvre la nuit
J'y ai chopé la crève, et puis quelques lèvres
Que je n'ai pas suivis
Sous les pavés on nage
Sur les pavés on danse
Les quais sont des rivages
Qui avec la nuit tanguent
Nos rires ont le même goût que les lumières qu'on apprivoise
Le soir est doux comme la soie
Ce soir les violons parlent pour moi
Mais les bars nous jettent
Et septembre soulève mon épiderme
C'était le verre de trop, c'était la dernière goutte
Ah que ce vin était mauvais,
Mais nous le buvions jusqu'à nous rendre saoul
Mais vivre, oh vivre quel bonheur fou!
Ce soir la nuit est à nous
Et les lumières tournent
Quand sur les quais froids débarquent le jour
J'ai dépensé sur les quais
Trop de sous, trop de soirs et d'énergie
J'ai dépensé sur les quais
Trop saoul, trop de soif et trop d'ennui
Quand le vent du nord frappe et couvre la nuit
J'y ai chopé la crève, et des milliers de rêves
Avant l'inertie
A 5h du matin la ville n'est plus la même
Les murs s'embrassent et les volets saluent la lumière
Et l'eau noir devient bleu clair.
Qu'il est beau le reflet du ciel
Dans ce miroir vivant
Soulignés par des fils d'argents
J'ai dépensé sur les quais
Trop de tout, trop de toi et de nostalgie
J'ai dépensé sur les quais
Trop fou, trop de joie et beaucoup de rires
Quand le vent du nord frappe et couvre la nuit
J'y ai chopé la crève, et puis quelques lèvres
Que je n'ai pas suivis
Sous les pavés on nage
Sur les pavés on danse
Les quais sont des rivages
Qui avec la nuit tanguent
Credits
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.