Mystérieux Desperado
Je me trouve une fois de plus devant les gorges du néant
Plus simplement dit, le saloon de cette ville sans vie
J'y bois ma peine et mes ennuis
Je n'ai plus rien à gagner ni à perdre
La chasse, l'amour ou les pulsions acerbes
Certes
Quand l'opposant est vaincu
Et que la colère s'est tue
À quoi bon rôder la nuit
Alors que le cycle continue
Avec le temps qui file
Je réalise que l'homme n'est pas destiné
À être nomade à perpetuité
Il est fait pour naître, vivre et ensuite s'éteindre
Telle une fleur dans le désert aride
Elle s'installe, fait son temps
Sa beauté et ses douceurs
Pour ensuite passer au prochain méritant
Celui qui n'a pas de nom
Ni de maison, n'est pas homme mais second
Mais peut importe la condition
Il faut bien mourir de quelquechose
Un jour vient le dernier souffle
La dernière pensée et le dernier souhait
Quand la fin est proche et désirée
Mais qu'elle ne vient pas
Le songe
Est la destiné
Pour celui qui n'existe pas, du moins, n'existe plus
Ce point final est rapidement voulu
O pontif de l'ouest
Ma dernière demande
Est de quitter ce monde
Par l'éclair qui illumine la vallée
Et qui rends repos au pistolero
Je rends mon fusil
Ma bandolière
Ainsi que mon chapeau
Je suis prêt à me livrer à toi
Tel un samurai de l'occident
Je cherche une défaite honorable
Un dernier supplice valliant
Un retour à cette terre exécrable
Mysterieux desperado
Ces démons infernaux
Qui languissent à recevoir
Leur prochain manteau noir
Plus simplement dit, le saloon de cette ville sans vie
J'y bois ma peine et mes ennuis
Je n'ai plus rien à gagner ni à perdre
La chasse, l'amour ou les pulsions acerbes
Certes
Quand l'opposant est vaincu
Et que la colère s'est tue
À quoi bon rôder la nuit
Alors que le cycle continue
Avec le temps qui file
Je réalise que l'homme n'est pas destiné
À être nomade à perpetuité
Il est fait pour naître, vivre et ensuite s'éteindre
Telle une fleur dans le désert aride
Elle s'installe, fait son temps
Sa beauté et ses douceurs
Pour ensuite passer au prochain méritant
Celui qui n'a pas de nom
Ni de maison, n'est pas homme mais second
Mais peut importe la condition
Il faut bien mourir de quelquechose
Un jour vient le dernier souffle
La dernière pensée et le dernier souhait
Quand la fin est proche et désirée
Mais qu'elle ne vient pas
Le songe
Est la destiné
Pour celui qui n'existe pas, du moins, n'existe plus
Ce point final est rapidement voulu
O pontif de l'ouest
Ma dernière demande
Est de quitter ce monde
Par l'éclair qui illumine la vallée
Et qui rends repos au pistolero
Je rends mon fusil
Ma bandolière
Ainsi que mon chapeau
Je suis prêt à me livrer à toi
Tel un samurai de l'occident
Je cherche une défaite honorable
Un dernier supplice valliant
Un retour à cette terre exécrable
Mysterieux desperado
Ces démons infernaux
Qui languissent à recevoir
Leur prochain manteau noir
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