guatemala
Gros je sais pas si tu capisce
C'est soit je fais la diff'
Soit c'est la disette
Il a plu sous la capuche
Dans les flaques je ramasse mon âme à l'épuisette
Venu au monde avec la dalle
Ils s'habillent comme nous
Mais comprennent pas la mental'
Je m'en veux plus de faire le mal
Parce que faire le bon m'a épuisé
Le sang personne nous attend
Comme dans un déni de grossesse
Je les croyais content pour nous
Mais en vrai ils voulaient qu'on se taise
J'aime pas les fêtes souvent les sourires les habits sont fake
On sait faire que des "tout droit" un peu comme un shoot dans les pecs
Cœur usé comme les rues de calle
La peine des autres ne me touche plus
Il y avait des tabous dans le foyer
Je me suis construit par les erreurs et les coups de pute
On réalise souvent après coup
J'ai vécu des choses que j'arrive pas à m'avouer
Les regrets c'est comme dormir sur les clous
Ça fait mal mais tu finis par t'habituer
Maman lave les chiottes des autres
Se plaint et j'ai pas les mots
Je le prends comme si c'était de ma faute
Comme si j'étais pas réglo
Dans ma tête que des histoires qui feraient serrer les gens
On se contente de sourire
De parler du beau temps
Frèro crois moi
Un jour on ira voir le Guatemala
On aura plus besoin quand ils vont cala
On aura plus besoin quand ils vont cala
Je sais pas parler de moi
Je me cache derrière des expressions des formules
Sur moi t'es mal informé
Les collab' sont fermés
Parce qu'ils sont fort nuls
Je me suis jeté sans harnais
Sans même te parler
Sans voir ton corps nu
Les remords sont salés
Sûr que je vais cramer
Passer chez le cornu
L'amour c'est comme les banques
Y a souvent des intérêts une offre une demande
On pense pas à la même quand on se manque
M'arrive de penser à une autre quand je
Regarde devant toi
Qu'est ce qui s'offre à moi
À part péter le convoi
On a du mal à compter
Toujours les mêmes qui signent des mauvais contrats
Vaut mieux un ennemi qui ne t'aime pas
Qu'un poto qui t'envie
Le jour on traîne ensemble
Mais tu penses à me faire la nuit
Et quand je ressens des choses qu'aucun mot ne traduit
Je mets le mode avion
Des parenthèses sur ma vie
Frèro crois moi
Un jour on ira voir le Guatemala
On aura plus besoin quand ils vont cala
On aura plus besoin quand ils vont cala
Frèro crois moi
Un jour on ira voir le Guatemala
On aura plus besoin quand ils vont cala
On aura plus besoin quand ils vont cala
C'est soit je fais la diff'
Soit c'est la disette
Il a plu sous la capuche
Dans les flaques je ramasse mon âme à l'épuisette
Venu au monde avec la dalle
Ils s'habillent comme nous
Mais comprennent pas la mental'
Je m'en veux plus de faire le mal
Parce que faire le bon m'a épuisé
Le sang personne nous attend
Comme dans un déni de grossesse
Je les croyais content pour nous
Mais en vrai ils voulaient qu'on se taise
J'aime pas les fêtes souvent les sourires les habits sont fake
On sait faire que des "tout droit" un peu comme un shoot dans les pecs
Cœur usé comme les rues de calle
La peine des autres ne me touche plus
Il y avait des tabous dans le foyer
Je me suis construit par les erreurs et les coups de pute
On réalise souvent après coup
J'ai vécu des choses que j'arrive pas à m'avouer
Les regrets c'est comme dormir sur les clous
Ça fait mal mais tu finis par t'habituer
Maman lave les chiottes des autres
Se plaint et j'ai pas les mots
Je le prends comme si c'était de ma faute
Comme si j'étais pas réglo
Dans ma tête que des histoires qui feraient serrer les gens
On se contente de sourire
De parler du beau temps
Frèro crois moi
Un jour on ira voir le Guatemala
On aura plus besoin quand ils vont cala
On aura plus besoin quand ils vont cala
Je sais pas parler de moi
Je me cache derrière des expressions des formules
Sur moi t'es mal informé
Les collab' sont fermés
Parce qu'ils sont fort nuls
Je me suis jeté sans harnais
Sans même te parler
Sans voir ton corps nu
Les remords sont salés
Sûr que je vais cramer
Passer chez le cornu
L'amour c'est comme les banques
Y a souvent des intérêts une offre une demande
On pense pas à la même quand on se manque
M'arrive de penser à une autre quand je
Regarde devant toi
Qu'est ce qui s'offre à moi
À part péter le convoi
On a du mal à compter
Toujours les mêmes qui signent des mauvais contrats
Vaut mieux un ennemi qui ne t'aime pas
Qu'un poto qui t'envie
Le jour on traîne ensemble
Mais tu penses à me faire la nuit
Et quand je ressens des choses qu'aucun mot ne traduit
Je mets le mode avion
Des parenthèses sur ma vie
Frèro crois moi
Un jour on ira voir le Guatemala
On aura plus besoin quand ils vont cala
On aura plus besoin quand ils vont cala
Frèro crois moi
Un jour on ira voir le Guatemala
On aura plus besoin quand ils vont cala
On aura plus besoin quand ils vont cala
Credits
Writer(s): Achim, Lordsham, Nolan D
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