Ecrin
J'pars en despi sans prevenir personne
À mi chemin, merde, j'ai oublié mon porte feuille
Seul sur une route enneigée, mon pare brise est givré
C'est pas le seul, j'roule sans regarder
Trop occupé à m'rouler un tarpé
C'est pas fini roow, la led s'est allumé
Bientôt en panne j'fais marché l'assurance
Mais le dépanneur veut pas m'acheter d'essence
Livré à moi même j'passe pas par 4 chemins
J'en choisis un et j'm'y tiens
Si seulement c'etait vrai, j'tente un demi tour
J'finis embourbé, tant pis j'y passerai la nuit
Mi dans le chemin mi dans le fossé
Le brouillard gagne l'habitacle
Heureusement qu'jai toujours mon atiraille
Un bon samaritin s'arrête pour m'aider
Il tarde pas à le regretter quand la sangle cède
La lucarne arrière éclate en éclats de verre
Finissant par terre, en gentilhomme il s'en va
Sans même demander le change, j'en suis reconnaissant
Plus qu'à rejoindre Morphé dans l'epaisse fumée
Quand j'entend toqué, mais j'y vois rien
D'autre qu'une lueur aveuglante, j'ai compris qui s'était
Ils doivent être enrhumés pour pas sentir l'odeur de fleur
Chance, karma, appelle ça comme tu veux
Un nouveau dépanneur au dépit de l'assurance, ses fils'de'p
Merci Monsieur l'agent de m'aider sans m'coffrer
Sans teint pâle ca aurait pu mal se passer
Pourtant le voyage est loin d'être terminé
Toujours pas d'essence, on va juste s'bloquer plus loin
Attendre un samaritin en pick up, j'ai roulé si loin?
Ça va il parle pas américain, me paie même un dix balles
100km en 12h c'etait pas assez, c'est reparti
D'abord faut passer à banque chopé des lové
Avant j'glisse dans une ruelle descendante
Merci les poubelles d'amortir décidément
Merci le Karma, tu me suis partout sans raison
À chaque virage tu m'redonne la direction
J'vois les Ecrins, sous le soleil couchant, ouf
Enfin arrivé, entreinte avec le Ken bro
Il m'a même préparé un plat chaud
Ce soir on discute autour d'un kalumè
Demain on bondira au dessus de la canopée
Ici c'est comme rêver éveillé, vraiment
On observe les animaux aillés volées aisément
On gravi la montagne toute blanche le soleil descandant
Guenilles aux pieds, paroi glacé, les tendons d'Achille cédant
Comment mieux terminé ce voyage
Dire au-revoir à ma dernière faiblesse
Sans le Zo j'aurai été au Zoo, pas voir l'alpage
Sans lui je ne serai que tristesse
À mi chemin, merde, j'ai oublié mon porte feuille
Seul sur une route enneigée, mon pare brise est givré
C'est pas le seul, j'roule sans regarder
Trop occupé à m'rouler un tarpé
C'est pas fini roow, la led s'est allumé
Bientôt en panne j'fais marché l'assurance
Mais le dépanneur veut pas m'acheter d'essence
Livré à moi même j'passe pas par 4 chemins
J'en choisis un et j'm'y tiens
Si seulement c'etait vrai, j'tente un demi tour
J'finis embourbé, tant pis j'y passerai la nuit
Mi dans le chemin mi dans le fossé
Le brouillard gagne l'habitacle
Heureusement qu'jai toujours mon atiraille
Un bon samaritin s'arrête pour m'aider
Il tarde pas à le regretter quand la sangle cède
La lucarne arrière éclate en éclats de verre
Finissant par terre, en gentilhomme il s'en va
Sans même demander le change, j'en suis reconnaissant
Plus qu'à rejoindre Morphé dans l'epaisse fumée
Quand j'entend toqué, mais j'y vois rien
D'autre qu'une lueur aveuglante, j'ai compris qui s'était
Ils doivent être enrhumés pour pas sentir l'odeur de fleur
Chance, karma, appelle ça comme tu veux
Un nouveau dépanneur au dépit de l'assurance, ses fils'de'p
Merci Monsieur l'agent de m'aider sans m'coffrer
Sans teint pâle ca aurait pu mal se passer
Pourtant le voyage est loin d'être terminé
Toujours pas d'essence, on va juste s'bloquer plus loin
Attendre un samaritin en pick up, j'ai roulé si loin?
Ça va il parle pas américain, me paie même un dix balles
100km en 12h c'etait pas assez, c'est reparti
D'abord faut passer à banque chopé des lové
Avant j'glisse dans une ruelle descendante
Merci les poubelles d'amortir décidément
Merci le Karma, tu me suis partout sans raison
À chaque virage tu m'redonne la direction
J'vois les Ecrins, sous le soleil couchant, ouf
Enfin arrivé, entreinte avec le Ken bro
Il m'a même préparé un plat chaud
Ce soir on discute autour d'un kalumè
Demain on bondira au dessus de la canopée
Ici c'est comme rêver éveillé, vraiment
On observe les animaux aillés volées aisément
On gravi la montagne toute blanche le soleil descandant
Guenilles aux pieds, paroi glacé, les tendons d'Achille cédant
Comment mieux terminé ce voyage
Dire au-revoir à ma dernière faiblesse
Sans le Zo j'aurai été au Zoo, pas voir l'alpage
Sans lui je ne serai que tristesse
Credits
Writer(s): Timothée Saint-cast
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