Frissons
Sans besoin de savoir d'où venait le frisson
Qui courait mon échine
Ni de chercher loin dans les brumes
Effrayer les larmes de tes rimes
Je cherchais le frisson
Qui m'étourdirait d'horizon
Ferait perler des gouttes de plaisir
Sans que mon cœur ne chavire
Les barques du vent t'y avaient conduite
Pour y attendre ma venue clandestine
J'ai senti dans mes silences
Des murmures de ton nom
J'ai aperçu dans les embruns
La tiédeur de tes mains
Les soupirs de ton âme
Fendaient les vagues comme une lame
Par dessus les cimes des crépuscules les plus enragés
Je suis monté sur le bateau amiral de la nuit
Chargé d'étoiles avec à la barre, le seul timonier, Eole
Les autres vents étaient en quarantaine
Dans la moiteur de nos crépuscules
Le navire avançait trop lentement vers ton rivage
J'ai supplie Eole d'affouiller les vagues
Même si pour cela le navire devait perdre ses voiles
Cela balançait de tous côtés, mais nous arrivions
Sur cette île paradisiaque
J'étais la reine, toi le monarque
Mes doigts couraient sur cet or perlé de mille étoile
Sur ma pudeur j'avais jeté le voile
Mes pensées sont sur les empruntes de tes pas
Sur ce sable dont le parfum m'est encore inconnu
J'ai la certitude que c'est ici qu'est né le sel de notre rencontre
Et je n'ai plus besoin de fil pour recoudre mon passé
Le présent se mélange à notre futur
Le sel de tes baisers guérit mes blessures
Mon âme se remplit de toi
Et mon corps n'existe qu'à travers toi
Mon corps n'existe qu'à travers toi
Mon corps n'existe qu'à travers toi
Mon corps n'existe qu'à travers toi
Qui courait mon échine
Ni de chercher loin dans les brumes
Effrayer les larmes de tes rimes
Je cherchais le frisson
Qui m'étourdirait d'horizon
Ferait perler des gouttes de plaisir
Sans que mon cœur ne chavire
Les barques du vent t'y avaient conduite
Pour y attendre ma venue clandestine
J'ai senti dans mes silences
Des murmures de ton nom
J'ai aperçu dans les embruns
La tiédeur de tes mains
Les soupirs de ton âme
Fendaient les vagues comme une lame
Par dessus les cimes des crépuscules les plus enragés
Je suis monté sur le bateau amiral de la nuit
Chargé d'étoiles avec à la barre, le seul timonier, Eole
Les autres vents étaient en quarantaine
Dans la moiteur de nos crépuscules
Le navire avançait trop lentement vers ton rivage
J'ai supplie Eole d'affouiller les vagues
Même si pour cela le navire devait perdre ses voiles
Cela balançait de tous côtés, mais nous arrivions
Sur cette île paradisiaque
J'étais la reine, toi le monarque
Mes doigts couraient sur cet or perlé de mille étoile
Sur ma pudeur j'avais jeté le voile
Mes pensées sont sur les empruntes de tes pas
Sur ce sable dont le parfum m'est encore inconnu
J'ai la certitude que c'est ici qu'est né le sel de notre rencontre
Et je n'ai plus besoin de fil pour recoudre mon passé
Le présent se mélange à notre futur
Le sel de tes baisers guérit mes blessures
Mon âme se remplit de toi
Et mon corps n'existe qu'à travers toi
Mon corps n'existe qu'à travers toi
Mon corps n'existe qu'à travers toi
Mon corps n'existe qu'à travers toi
Credits
Writer(s): Renaud Vidal
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