Des sentiments
Tu me parles du soir, des lumières de la ville
J'avais perdu espoir de voir tes yeux qui brillent
Emporté par l'élan de tes confidences
Je m'arrete un instant pour tenter ma chance
Des sentiments, des cris des larmes pour te plaire
J'aimerais autant, que tu ne résistes pas
Avec le temps je deviendrai celui que tu préfères
Evidemment, un jour tu l'oublieras
Tu me parles de toi de ce qui rend fragile
Les charmes que tu déploies me rendent un peu fébrile
Et j'éponge de mon pull, tes pleurs qui éclatent
Comme du papier bulle, sur ta peau délicate
Tu me parles de lui, c'était l'homme de tes rêves
Moi je suis celui qui doit se mordre les lèvres
Ton roméo spirituel, celui qui t'a pris le coeur
De son regard cruel, moi je voudrais qu'il meure
Des sentiments, des cris des larmes pour te plaire
J'aimerais autant, que tu ne résistes pas
Avec le temps je deviendrai celui que tu préfères
Evidemment, un jour tu l'oublieras
Je n'en peux plus d'attendre, de faire des prières
Que tu ne peux pas entendre, je suis comme ton frère
Je rassemble mon courage, il n'y en a pas beaucoup
Je suis vieux pour mon âge, à force d'être à genoux
Tu reparais soudain, je redeviens docile
Mon chagrin s'émiette, mes idées vacillent
Rien n'a plus de sens quand je suis avec toi
Comme une odeur d'essence qui me brule les doigts
Des sentiments, des cris des larmes pour te plaire
J'aimerais autant, que tu ne résistes pas
Avec le temps je deviendrai celui que tu préfères
Evidemment, un jour tu l'oublieras
J'avais perdu espoir de voir tes yeux qui brillent
Emporté par l'élan de tes confidences
Je m'arrete un instant pour tenter ma chance
Des sentiments, des cris des larmes pour te plaire
J'aimerais autant, que tu ne résistes pas
Avec le temps je deviendrai celui que tu préfères
Evidemment, un jour tu l'oublieras
Tu me parles de toi de ce qui rend fragile
Les charmes que tu déploies me rendent un peu fébrile
Et j'éponge de mon pull, tes pleurs qui éclatent
Comme du papier bulle, sur ta peau délicate
Tu me parles de lui, c'était l'homme de tes rêves
Moi je suis celui qui doit se mordre les lèvres
Ton roméo spirituel, celui qui t'a pris le coeur
De son regard cruel, moi je voudrais qu'il meure
Des sentiments, des cris des larmes pour te plaire
J'aimerais autant, que tu ne résistes pas
Avec le temps je deviendrai celui que tu préfères
Evidemment, un jour tu l'oublieras
Je n'en peux plus d'attendre, de faire des prières
Que tu ne peux pas entendre, je suis comme ton frère
Je rassemble mon courage, il n'y en a pas beaucoup
Je suis vieux pour mon âge, à force d'être à genoux
Tu reparais soudain, je redeviens docile
Mon chagrin s'émiette, mes idées vacillent
Rien n'a plus de sens quand je suis avec toi
Comme une odeur d'essence qui me brule les doigts
Des sentiments, des cris des larmes pour te plaire
J'aimerais autant, que tu ne résistes pas
Avec le temps je deviendrai celui que tu préfères
Evidemment, un jour tu l'oublieras
Credits
Writer(s): Camille Anssel
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