A celui qu'on n'oublie pas

Je rêve encore à son corps, à ses cheveux
De fils d'or, d'émeraude dans les yeux
Je rêve d'hier ne sachant plus où marquer le temps
A contre-courant l'heure se perd dans les méandres de nos printemps

Il y a dans ses sourires un volcan
Du bout des lèvres embrasées montait la fièvre
Je reste à terre quant il court loin devant
Et dans notre lit désert roule les vestiges d'un printemps

La la la
Lalala Lalala
Lalala lalala lalala

Je rêve d'hier ne sachant plus où marquer le temps
Et je perds mes repères
Mes doigts s'engourdissent de ton manque
Il y a dans ces paroles, des torrents
Des farandoles, des promesses en noir et blanc



Credits
Writer(s): Stanislas Neff, Coline Rio
Lyrics powered by www.musixmatch.com

Link