Morphée
Chaque soir sur le perron je te rencontre
Nos cœurs timides ouvrent grands leurs yeux curieux
Et le temps, magicienne aux mille miracles
Fait son métier, tissant nos âmes amoureuses
Et tu m'emporte dans la valse viennoise
Je m'amourache de nos précieux silences
A nos heures noires nos chaleurs nous cajolent
Dans la lumière nos regards embrassés s'envolent
Morphée m'attire et m'embrasse en marmonnant
Ma muse ensommeillée m'a murmuré l'amour
Ma mie entre mes bras embrasse la nuit
La femme que j'aime suspend l'éternité
Au matin mon âme libre me porte ailleurs
Avec elle, solitaire mais jamais seule
Entière mais infime particule du monde
Quand on aime on est mille mémoires infinies
En terres étrangères aux langues obscures
En cohues hirsutes aux voix assourdissantes
Son cœur bat doucement apaisant le mien
Ses mèches enflammées réchauffent mes pensées
Aux mirages et maux du monde moderne
Mon amour est la main ferme qui me tient
Et ses lèvres dessinent la paix du monde
Une vie douce et vraie merveilleuse et mielleuse
Morphée m'attire et m'enlace en marmonnant
Ma muse ensommeillée m'a murmuré l'amour
Ma mie entre mes bras embrasse la nuit
La femme que j'aime suspend l'éternité
Au matin mon âme libre me porte ailleurs
Avec elle, solitaire mais jamais seule
Entière mais infime particule du monde
Quand on aime on est mille mémoires infinies
Nos cœurs timides ouvrent grands leurs yeux curieux
Et le temps, magicienne aux mille miracles
Fait son métier, tissant nos âmes amoureuses
Et tu m'emporte dans la valse viennoise
Je m'amourache de nos précieux silences
A nos heures noires nos chaleurs nous cajolent
Dans la lumière nos regards embrassés s'envolent
Morphée m'attire et m'embrasse en marmonnant
Ma muse ensommeillée m'a murmuré l'amour
Ma mie entre mes bras embrasse la nuit
La femme que j'aime suspend l'éternité
Au matin mon âme libre me porte ailleurs
Avec elle, solitaire mais jamais seule
Entière mais infime particule du monde
Quand on aime on est mille mémoires infinies
En terres étrangères aux langues obscures
En cohues hirsutes aux voix assourdissantes
Son cœur bat doucement apaisant le mien
Ses mèches enflammées réchauffent mes pensées
Aux mirages et maux du monde moderne
Mon amour est la main ferme qui me tient
Et ses lèvres dessinent la paix du monde
Une vie douce et vraie merveilleuse et mielleuse
Morphée m'attire et m'enlace en marmonnant
Ma muse ensommeillée m'a murmuré l'amour
Ma mie entre mes bras embrasse la nuit
La femme que j'aime suspend l'éternité
Au matin mon âme libre me porte ailleurs
Avec elle, solitaire mais jamais seule
Entière mais infime particule du monde
Quand on aime on est mille mémoires infinies
Credits
Writer(s): Médéric Degoy
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