C'est Byzance
Si un jour tu partais sans me dire
Ce qu'il me faudrait pour te retenir
Ou irais tu, que ferais tu?
Oh si, l'homme par nature trouve la foi
Envisage l'amour comme il se doit
Si toutefois, il trouve sa voix
Oh si, on pourrait tout dire en splendeur
On ne voit pas venir les tricheurs
Faudra bien leur dire de partir ailleurs!
Si les espoirs s'écrivent en majeurs
Si les chansons s'écrivent en mineur
Si la lumière retient la chaleur
Si ma présence fait battre ton cœur
C'est Byzance, c'est Byzance!
Si tu entends les faux pas d'la pudeur
Les bruit silencieux de l'ardeur
Comme un jour qui pleure dans un haut parleur, Oh
Si tu suis les sentiers de la mer
Tu entends les grillons millénaires, Au d'ssus de la terre
Comme un caractère, Oh
Si la poésie t'émerveille
Qu'elle rejaillit comme une reine
Comme un espace hors des surfaces
Si les espoirs s'écrivent en majeurs
Si les chansons s'écrivent en mineur
Si la lumière retient la chaleur
Si ma présence fait battre ton cœur
C'est Byzance, c'est Byzance!
Si les rêves où j'te vois me rassurent, Dans ceux que je fais tu me jures
Des mots d'azur, jamais obscurs
Oh Si ce nous est à réinventer, Toutes les histoires peuvent s' réajuster
Comme un territoire peut s'redessiner
Si les espoirs s'écrivent en majeurs
Si les chansons s'écrivent en mineur
Si la lumière retient la chaleur
Si ma présence fait battre ton cœur
C'est Byzance, c'est Byzance!
Si, un jour tu partais sans me dire
Ce qu'il me faudrait pour te retenir
Ce qu'il me faudrait pour te retenir
Ou irais tu, que ferais tu?
Oh si, l'homme par nature trouve la foi
Envisage l'amour comme il se doit
Si toutefois, il trouve sa voix
Oh si, on pourrait tout dire en splendeur
On ne voit pas venir les tricheurs
Faudra bien leur dire de partir ailleurs!
Si les espoirs s'écrivent en majeurs
Si les chansons s'écrivent en mineur
Si la lumière retient la chaleur
Si ma présence fait battre ton cœur
C'est Byzance, c'est Byzance!
Si tu entends les faux pas d'la pudeur
Les bruit silencieux de l'ardeur
Comme un jour qui pleure dans un haut parleur, Oh
Si tu suis les sentiers de la mer
Tu entends les grillons millénaires, Au d'ssus de la terre
Comme un caractère, Oh
Si la poésie t'émerveille
Qu'elle rejaillit comme une reine
Comme un espace hors des surfaces
Si les espoirs s'écrivent en majeurs
Si les chansons s'écrivent en mineur
Si la lumière retient la chaleur
Si ma présence fait battre ton cœur
C'est Byzance, c'est Byzance!
Si les rêves où j'te vois me rassurent, Dans ceux que je fais tu me jures
Des mots d'azur, jamais obscurs
Oh Si ce nous est à réinventer, Toutes les histoires peuvent s' réajuster
Comme un territoire peut s'redessiner
Si les espoirs s'écrivent en majeurs
Si les chansons s'écrivent en mineur
Si la lumière retient la chaleur
Si ma présence fait battre ton cœur
C'est Byzance, c'est Byzance!
Si, un jour tu partais sans me dire
Ce qu'il me faudrait pour te retenir
Credits
Writer(s): Marielle Sade
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