COMBIEN DE TEMPS ?
Si l'olivier a pourri, il faut l'couper à la racine
Et si l'argent est pourri, il faut l'laver dans la bassine
C'est l'temps qui m'abîme, j'reste fermé, j'sais pas ce qu'ils ont
Ils veulent que ma vision s'élargisse comme la chatte à Jasmine
On prie l'bon Dieu en balle, on sent le feu venir d'en bas
Sous la semelle des Airs Shox (anh)
Ça brûle comme chamchamal, la maladie condamne (eh)
La pluie ne va pas suffire pour redonner vie au Dahlia sur les pierres tombales
Et quand j'sens que ça va mal, bro, j'roule un gros de violette
J'ai l'même accent que Colette, j'aurai la même issue fatale (pas mal)
Les autres j'veux pas les connaître, peuvent mettre l'œil même à l'aveugle
J'me sens seul comme la veuve, je m'en vais avec les aveux
C'est l'produit qui nous canne, on s'bat pour la paix, mais si elle vient
On va sûrement trouver tout ça bien trop calme
C'est l'frère qui tient la cam', j'lui dis "filme pas l'autre frère sous l'eau"
Et les bro sous la locale casse la CB sur la rocaille (anh)
On boit la Vodka puro à l'heure du café Moka
Ils vont beau nous faire un boulot, un requin dans un bocal
T'as cru que ça allait durer, en vrai qu'ils s'enculent entre eux ou pas
Ça changera rien, moi j'vais les ken du muret (ou rien)
Ça malaxe la purée dans la pomme de la Mano
Nous on s'appelle hermano, on s'baise à l'heure du bénef'
J'les vois tourner la tête, ça manque un peu d'relais, hein
Tu connais la bête, j'mets pas la bite si elle manque de relief (non)
Ça tape dans des gros derches du Brésil
Au loin la voix d'un ange qui grésille
On pousse nos cœurs, nos corps à l'extrême
On verra combien d'temps, on résiste
T'as vu le temps que je tiens, elle me dit quel homme
Eux, ils veulent que t'ais rien pour que tu sois comme eux
On sait que ça finira un jour, tout ça nous punira
Donc on les enviera pas, on prend c'que Dieu nous donne
On laisse les coins d'pizza et les culs de joint pour les rats
Avant de natchave définitif j'sers les dernières pour les braves (ouais)
J'ai bien compris que tout ça était grave (anh)
J'essaie de calmer mon frère qui pense qu'à péter des crânes
La santé d'mes racines qui se dégradent
Il m'reste quelques bouts de vies, rien à foutre si j'les crame (rien à foutre)
J'ai encore quelques images en tête juste avant la tempête
J'entends les chiens qui brament, ouais
Et si l'argent est pourri, il faut l'laver dans la bassine
C'est l'temps qui m'abîme, j'reste fermé, j'sais pas ce qu'ils ont
Ils veulent que ma vision s'élargisse comme la chatte à Jasmine
On prie l'bon Dieu en balle, on sent le feu venir d'en bas
Sous la semelle des Airs Shox (anh)
Ça brûle comme chamchamal, la maladie condamne (eh)
La pluie ne va pas suffire pour redonner vie au Dahlia sur les pierres tombales
Et quand j'sens que ça va mal, bro, j'roule un gros de violette
J'ai l'même accent que Colette, j'aurai la même issue fatale (pas mal)
Les autres j'veux pas les connaître, peuvent mettre l'œil même à l'aveugle
J'me sens seul comme la veuve, je m'en vais avec les aveux
C'est l'produit qui nous canne, on s'bat pour la paix, mais si elle vient
On va sûrement trouver tout ça bien trop calme
C'est l'frère qui tient la cam', j'lui dis "filme pas l'autre frère sous l'eau"
Et les bro sous la locale casse la CB sur la rocaille (anh)
On boit la Vodka puro à l'heure du café Moka
Ils vont beau nous faire un boulot, un requin dans un bocal
T'as cru que ça allait durer, en vrai qu'ils s'enculent entre eux ou pas
Ça changera rien, moi j'vais les ken du muret (ou rien)
Ça malaxe la purée dans la pomme de la Mano
Nous on s'appelle hermano, on s'baise à l'heure du bénef'
J'les vois tourner la tête, ça manque un peu d'relais, hein
Tu connais la bête, j'mets pas la bite si elle manque de relief (non)
Ça tape dans des gros derches du Brésil
Au loin la voix d'un ange qui grésille
On pousse nos cœurs, nos corps à l'extrême
On verra combien d'temps, on résiste
T'as vu le temps que je tiens, elle me dit quel homme
Eux, ils veulent que t'ais rien pour que tu sois comme eux
On sait que ça finira un jour, tout ça nous punira
Donc on les enviera pas, on prend c'que Dieu nous donne
On laisse les coins d'pizza et les culs de joint pour les rats
Avant de natchave définitif j'sers les dernières pour les braves (ouais)
J'ai bien compris que tout ça était grave (anh)
J'essaie de calmer mon frère qui pense qu'à péter des crânes
La santé d'mes racines qui se dégradent
Il m'reste quelques bouts de vies, rien à foutre si j'les crame (rien à foutre)
J'ai encore quelques images en tête juste avant la tempête
J'entends les chiens qui brament, ouais
Credits
Writer(s): Charles Michel, Tom Militello, Jeremy Philippe
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