C'est toujours le matin (feat. Salvatore Adamo)
C'est toujours le matin
Toujours elle me revient
Le sourire invincible
C'est toujours le matin
Toujours comme un coup de poing
Son sourire est terrible
Moi je suis enroulé sur moi-même
J'ai mal au bide
Enroulé comme un tube de dentifrice vide
Oui, je l'ai attendu toute la nuit
Comme un chien stupide
Oui, tu l'as attendu attendu, eh
Ne souris pas, ne souris pas
Elle me dit pas chaque fois
Qu'il l'a aimé comme trois
Épargne-moi, épargne-moi
Ne m'en dis pas plus cette fois
Ne me dis pas qu'elle t'a dit tout ça
Et mes yeux qui l'ont aimé toujours
Viennent encore lui mendier
Quelques miettes de tendresse
Mêmes si ses habits puent l'amour
Même si son corps est tapissé
De toutes ses caresses
Je la suis jusqu'à la salle de bains
Elle ne me regarde pas
Son corps brule désormais entre d'autres mains
Le mien vole en éclats
J'imagine ses gros doigts qui défilent sur elle, tu vois
Comme un armée de soldats qui ne sont plus à toi
C'est toujours pas très loin
Que j'éteins le moteur
Que tu étreins ses lèvres
Que tu t'installes dans son cœur
C'est toujours le matin
Toujours à la même heure
Je m'habille de ténèbres
Elle éclabousse de bonheur
Toujours elle me revient
Le sourire invincible
C'est toujours le matin
Toujours comme un coup de poing
Son sourire est terrible
Moi je suis enroulé sur moi-même
J'ai mal au bide
Enroulé comme un tube de dentifrice vide
Oui, je l'ai attendu toute la nuit
Comme un chien stupide
Oui, tu l'as attendu attendu, eh
Ne souris pas, ne souris pas
Elle me dit pas chaque fois
Qu'il l'a aimé comme trois
Épargne-moi, épargne-moi
Ne m'en dis pas plus cette fois
Ne me dis pas qu'elle t'a dit tout ça
Et mes yeux qui l'ont aimé toujours
Viennent encore lui mendier
Quelques miettes de tendresse
Mêmes si ses habits puent l'amour
Même si son corps est tapissé
De toutes ses caresses
Je la suis jusqu'à la salle de bains
Elle ne me regarde pas
Son corps brule désormais entre d'autres mains
Le mien vole en éclats
J'imagine ses gros doigts qui défilent sur elle, tu vois
Comme un armée de soldats qui ne sont plus à toi
C'est toujours pas très loin
Que j'éteins le moteur
Que tu étreins ses lèvres
Que tu t'installes dans son cœur
C'est toujours le matin
Toujours à la même heure
Je m'habille de ténèbres
Elle éclabousse de bonheur
Credits
Writer(s): Bruno Caliciuri, Julien Lebart, Hugues Baretge, Aude Massat Bourrat
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