En me levant ce bizarre

En me levant ce bizarre
Je me sentais matin
J'avais l'impression d'être un phare
Aveuglé par les lapins

J'ai dévissé mon nombril
Mes oreilles sont tombées
J'ai dû descendre en ville
Pour les faire réparer
Je n'ai jamais autant senti
Le parfum inodore
Des roses blanc foncé
Que j'ai croisées au drugstore

Oh je me demande qui
Je me demande où
Je me demande quand
Je me demande comment
Mais je ne me demande jamais pourquoi
Qu'importe le flocon pourvu qu'on ait du verglas

Poursuivi jusqu'en Bretagne par
Un suppositoire géant
Je me cache dans une armoire normande
En chêne dans la boîte à gland
Je tombe sur un chinois
Limite bizarroïde
Il me parle de parathyroïde
Mais tout ça ne m'intéresse pas

Oh je me demande qui
Je me demande où
Je me demande quand
Je me demande comment
Mais je ne me demande jamais pourquoi
Qu'importe le flocon pourvu qu'on ait du verglas

Les poissons ne rêvent jamais
Car les poissons ne dorment pas
Et si parfois les poissons pleurent
Personne ne le voit
Je me fais couler un bain
Pour me laver de mes fautes
Et s'il n'en reste qu'un
C'est moi qui serai l'autre

Oh je me demande qui
Je me demande où
Je me demande quand
Je me demande comment
Mais je ne me demande jamais pourquoi
Qu'importe le flocon pourvu qu'on ait du verglas

Oh je me demande qui
Je me demande où
Je me demande quand
Je me demande comment
Mais je ne me demande jamais pourquoi
Qu'importe le flocon pourvu qu'on ait du verglas



Credits
Writer(s): Jean-luc Fonck
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