MR. NOBODY
Y'a 6 piges, je me suis dit "le pera c'est mon dos"
Maintenant je cogite, faudrait peut être témon le top
Je suis dans la caisse et dehors il pleut des trombes d'eau
Ça me rappelle un peu ses yeux quand j'étais son homme
Toujours plus de son
Toujours plus de "toi"
Il en faut toujours plus pour que je me crois
Je suis à deux doigts de me tatouer la prod
Pour me rappeler que j'ai plus le choix
J'ai la rage comme un nerveux
Mais je suis pas nerveux, nan j'ai la dalle
Et quand je ressors du show
Je pourrais manger la table
Faut me voir rapper si tu veux me voir en vrai
C'est toujours là que je mets les doutes en parenthèse
J'ai rien trouvé d'autre qui peut s'y apparenter
6 du matin, je plis des câbles
Je conduis sur Paris des camions
Le "sun" se lève et c'est déjà chiant
Ouais c'est pas comme si je conduis des avions
6' du soir, je suis devant l'écran
Je ressens une sensation étrange
Ouais j'ai quelque chose à me mettre en tête
Genre pour pas être frustré à ma trentaine
Je suis vec' un reuf sur le canap'
Qui fume un bout de cana'
La tête fumée comme un coul de kalash
Un peu de liche pour me décrasser
Ou me casser
Je sais plus, je suis dépassé
Je croises BB un matin, je vais bosser, elle en revient
Elle a les yeux rouges mais je vois quand même Orion
Pour elle, j'ai changé 6 ans en rien
Et depuis j'ai toujours le veaucer' qui tourne en rond
Ce matin je suis dans le gaz
Et je me frotte les yeux quand je sors de l'appart
Je me vois bien le soir
A faire le bilan sur la terrasse d'un bar à Paris
Plus rien est pareil
Depuis que j'ai lâché la zamal
Depuis que j'ai confiance, j'ai repris la cravache
Ça va, je trouve ma place au sein de la savane
Je me connaissais pas
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient parfaites
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient fades
Je peux pas m'arrêter
Je suis malade
Mais je reste un gars qui s'invite à Paname
Je suis dans mon salon, je fais rien sauf m'écouter
Je suis dans mon salon, je fais rien sauf t'écouter
Je me suis pas mâché le quetru'
Il a fallu que je cogite avant de pop'
Je pète une grande clope
J'essaie de trouver le diez que j'ai pas en stock
J'ai mes reufs à côté
On fait des vannes grotesques
Qui nous donnent des points de côté
Je fais remonter les points de côtes
Chez moi ça fait pas le coq
Parle vrai, pas de poker
Je croises BB 20 minutes par jour
J'ai le temps de l'aimer un peu plus
Dis moi vers quoi tu me pousses
Les larmes coulent dans la bouche
Tu m'as donné un goût de plus
Je bosse sur mon bazar
Sur mon bordel, sur tout ce qui fait pas de tals
On se revoit peut être pas tout à l'heure
Ce soir la vision est grave large
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient parfaites
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Maintenant je cogite, faudrait peut être témon le top
Je suis dans la caisse et dehors il pleut des trombes d'eau
Ça me rappelle un peu ses yeux quand j'étais son homme
Toujours plus de son
Toujours plus de "toi"
Il en faut toujours plus pour que je me crois
Je suis à deux doigts de me tatouer la prod
Pour me rappeler que j'ai plus le choix
J'ai la rage comme un nerveux
Mais je suis pas nerveux, nan j'ai la dalle
Et quand je ressors du show
Je pourrais manger la table
Faut me voir rapper si tu veux me voir en vrai
C'est toujours là que je mets les doutes en parenthèse
J'ai rien trouvé d'autre qui peut s'y apparenter
6 du matin, je plis des câbles
Je conduis sur Paris des camions
Le "sun" se lève et c'est déjà chiant
Ouais c'est pas comme si je conduis des avions
6' du soir, je suis devant l'écran
Je ressens une sensation étrange
Ouais j'ai quelque chose à me mettre en tête
Genre pour pas être frustré à ma trentaine
Je suis vec' un reuf sur le canap'
Qui fume un bout de cana'
La tête fumée comme un coul de kalash
Un peu de liche pour me décrasser
Ou me casser
Je sais plus, je suis dépassé
Je croises BB un matin, je vais bosser, elle en revient
Elle a les yeux rouges mais je vois quand même Orion
Pour elle, j'ai changé 6 ans en rien
Et depuis j'ai toujours le veaucer' qui tourne en rond
Ce matin je suis dans le gaz
Et je me frotte les yeux quand je sors de l'appart
Je me vois bien le soir
A faire le bilan sur la terrasse d'un bar à Paris
Plus rien est pareil
Depuis que j'ai lâché la zamal
Depuis que j'ai confiance, j'ai repris la cravache
Ça va, je trouve ma place au sein de la savane
Je me connaissais pas
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient parfaites
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient fades
Je peux pas m'arrêter
Je suis malade
Mais je reste un gars qui s'invite à Paname
Je suis dans mon salon, je fais rien sauf m'écouter
Je suis dans mon salon, je fais rien sauf t'écouter
Je me suis pas mâché le quetru'
Il a fallu que je cogite avant de pop'
Je pète une grande clope
J'essaie de trouver le diez que j'ai pas en stock
J'ai mes reufs à côté
On fait des vannes grotesques
Qui nous donnent des points de côté
Je fais remonter les points de côtes
Chez moi ça fait pas le coq
Parle vrai, pas de poker
Je croises BB 20 minutes par jour
J'ai le temps de l'aimer un peu plus
Dis moi vers quoi tu me pousses
Les larmes coulent dans la bouche
Tu m'as donné un goût de plus
Je bosse sur mon bazar
Sur mon bordel, sur tout ce qui fait pas de tals
On se revoit peut être pas tout à l'heure
Ce soir la vision est grave large
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient parfaites
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Toutes les journées étaient fades
Je me connaissais pas
Jusqu'à ce que je comprenne ça
Credits
Writer(s): Clément Huet, Colas Marx, Michel Djadane
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.