Anathole
Là maison craque comme la peau d'Anathole
Noircit et fripée par les grands vents du large
Dans son sillage le temps prend ses aises
Se creuse une rivière au pied de sa falaise
Anathole se souvient de chaque petit geste
Qui meuble une vie à deux, qui façonne un foyer
De ses pieds froids lové dans ces grosses mains calleuses
De leurs regards complices, Alizé est heureuse
La marée qui arrive avec tous ses espoirs
De rejoindre sa belle pour danser avec elle
Et le jour qui se couche
Sur les années qui passent
Sa belle Alizé, sa brise du printemps
Qui réchauffe les hivers et repousse les tourmentes
Celles du coeur, celles d'la tête par temps doux, par temps froid
Accueille qui veut bien les bras grands ouverts
Une parcelle de terre et une ancre à la mer
Revenu de sa pêche le sourire bienheureux
Son champs de verres semé par les flots
Elle assemble la beauté morceaux par morceaux
La marée qui s'étend avec tous ses espoirs
De rejoindre sa belle pour danser avec elle
Et la nuit qui veille
Sur les années qui passent
Sa belle Alizé, sa brise du printemps
Qui réchauffe les hivers et repousse les tourmentes
Et puis un beau matin un sourire manquant
Un café perdu, des mots qui s'enlacent
Une mer agitée dans les yeux de sa douce
La mémoire qui s'essouffle
Le vent la rappelle
La marée qui repart avec tous ses espoirs
De retrouver sa belle pour danser avec elle
Un autre jour se lève
Sur les années qui passent
Noircit et fripée par les grands vents du large
Dans son sillage le temps prend ses aises
Se creuse une rivière au pied de sa falaise
Anathole se souvient de chaque petit geste
Qui meuble une vie à deux, qui façonne un foyer
De ses pieds froids lové dans ces grosses mains calleuses
De leurs regards complices, Alizé est heureuse
La marée qui arrive avec tous ses espoirs
De rejoindre sa belle pour danser avec elle
Et le jour qui se couche
Sur les années qui passent
Sa belle Alizé, sa brise du printemps
Qui réchauffe les hivers et repousse les tourmentes
Celles du coeur, celles d'la tête par temps doux, par temps froid
Accueille qui veut bien les bras grands ouverts
Une parcelle de terre et une ancre à la mer
Revenu de sa pêche le sourire bienheureux
Son champs de verres semé par les flots
Elle assemble la beauté morceaux par morceaux
La marée qui s'étend avec tous ses espoirs
De rejoindre sa belle pour danser avec elle
Et la nuit qui veille
Sur les années qui passent
Sa belle Alizé, sa brise du printemps
Qui réchauffe les hivers et repousse les tourmentes
Et puis un beau matin un sourire manquant
Un café perdu, des mots qui s'enlacent
Une mer agitée dans les yeux de sa douce
La mémoire qui s'essouffle
Le vent la rappelle
La marée qui repart avec tous ses espoirs
De retrouver sa belle pour danser avec elle
Un autre jour se lève
Sur les années qui passent
Credits
Writer(s): Beriot, P-a Lemay
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