Deux oiseaux
Ça fait des années
Que ces deux oiseaux
Se croisent parfois
Se font les yeux doux
S'échangent des mots
Des mots qui font mouche
Tout au fond qui touchent
Et donnent des sentiments
Mais c'est jamais le moment
Pour eux d'y aller
Souvent c'est le soir
Toujours au hasard
Qu'ils se croisent un peu
Se mangent les yeux
Puis il se fait tard
Et sur un long regard
Tous deux se séparent
Loin des terrains glissants
Voyez s'il y a quelque chose entre ces deux-là d'évident
Ils n'ont jamais loisir de se faire ce qu'ils pensent
La vie la vilaine fait des siennes à ces pauvres enfants
Pris dans des amours parallèles, ils n'ont jamais le temps
De s'aimer un peu
Cupidon lui-même semble à peine se soucier de ces deux amoureux
Il a mis deux flèches point de perche et sans perdre de temps
A changé de vent
Un soir en été
On les aurait pris
À se soulager
Du poids des baisers
Un pas de côté
Un seul et farouche
Posé sur la bouche
Mais vous l'imaginez
Bien des jours après
Chacun sous son toit
Ne pensait qu'à ça
Une voix dans la tête
Chantant à tue-tête
T'as mis tes baskets
Sur un terrain glissant
Voyez si ces deux-là n'se sont laissés
Aller qu'un instant, pourtant
Ils n'ont toujours pas loisir de vivre
Ce qu'ils pensent
La vie la vilaine fait des siennes à ces pauvres enfants
Pris dans des amours parallèles, ils n'ont jamais le temps
De s'aimer un peu
Cupidon lui-même semble à peine se soucier de ces deux amoureux
Il a mis deux flèches point de perche et sans perdre de temps
A changé de vent
Ça dure depuis bien trop longtemps
Entre ces deux beaux enfants
Cacher tant de sentiments
C'est pas bon pour le cœur
Offrez-vous donc des fleurs
Ça dure depuis bien trop longtemps
Entre ces deux beaux enfants
Cacher tant de sentiments
C'est pas bon pour le cœur
Offrez-vous donc des fleurs
C'était sans compter sur
La vie la vilaine fait des siennes à ces pauvres enfants
Pris dans des amours parallèles, ils n'ont jamais le temps
De s'aimer un peu
Cupidon lui-même semble à peine se soucier de ces deux amoureux
Il a mis deux flèches point de perche et sans perdre de temps
A changé de vent
Que ces deux oiseaux
Se croisent parfois
Se font les yeux doux
S'échangent des mots
Des mots qui font mouche
Tout au fond qui touchent
Et donnent des sentiments
Mais c'est jamais le moment
Pour eux d'y aller
Souvent c'est le soir
Toujours au hasard
Qu'ils se croisent un peu
Se mangent les yeux
Puis il se fait tard
Et sur un long regard
Tous deux se séparent
Loin des terrains glissants
Voyez s'il y a quelque chose entre ces deux-là d'évident
Ils n'ont jamais loisir de se faire ce qu'ils pensent
La vie la vilaine fait des siennes à ces pauvres enfants
Pris dans des amours parallèles, ils n'ont jamais le temps
De s'aimer un peu
Cupidon lui-même semble à peine se soucier de ces deux amoureux
Il a mis deux flèches point de perche et sans perdre de temps
A changé de vent
Un soir en été
On les aurait pris
À se soulager
Du poids des baisers
Un pas de côté
Un seul et farouche
Posé sur la bouche
Mais vous l'imaginez
Bien des jours après
Chacun sous son toit
Ne pensait qu'à ça
Une voix dans la tête
Chantant à tue-tête
T'as mis tes baskets
Sur un terrain glissant
Voyez si ces deux-là n'se sont laissés
Aller qu'un instant, pourtant
Ils n'ont toujours pas loisir de vivre
Ce qu'ils pensent
La vie la vilaine fait des siennes à ces pauvres enfants
Pris dans des amours parallèles, ils n'ont jamais le temps
De s'aimer un peu
Cupidon lui-même semble à peine se soucier de ces deux amoureux
Il a mis deux flèches point de perche et sans perdre de temps
A changé de vent
Ça dure depuis bien trop longtemps
Entre ces deux beaux enfants
Cacher tant de sentiments
C'est pas bon pour le cœur
Offrez-vous donc des fleurs
Ça dure depuis bien trop longtemps
Entre ces deux beaux enfants
Cacher tant de sentiments
C'est pas bon pour le cœur
Offrez-vous donc des fleurs
C'était sans compter sur
La vie la vilaine fait des siennes à ces pauvres enfants
Pris dans des amours parallèles, ils n'ont jamais le temps
De s'aimer un peu
Cupidon lui-même semble à peine se soucier de ces deux amoureux
Il a mis deux flèches point de perche et sans perdre de temps
A changé de vent
Credits
Writer(s): Thibaud Vanhooland
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