Obsession
J'ai pris ma feuille et j'ai fait un vœu
Dans la foule on était à deux
Et si l'avenir se jouait à peu
Il aurait tant de choses que je voudrais adresser à ceux
Qui regardent ceux qui se lâchent comme des envieux
Il n'y a qu'un mot c'est le taf pour aspirer à mieux
S'il n'y a qu'un seul message à prendre dans mes chansons
C'est que j'me méfie du lâche qui s'en remet aux cieux
Donc je demande aux vieux
Est-ce la paresse qui prime face à l'expérience?
Est-ce que
Je me pose les bonnes questions?
Je sens l'oppression de ma bonne conscience
Où va donc ma jeunesse et son insouciance?
Je les
Retrouve a chaque session
Je veux
Me faire une raison en toute circonstance
Au point de confondre la folie et l'obsession
À trop vouloir gagner on finit par se perdre
Quel intérêt de briller si tu n'es plus personne?
Je questionne
Les faits et les dogmes
Les vrais et les autres
Mais c'est dans leur propre vide que les mots résonnent
Faut
Atténuer l'écho
Impossible d'en atteindre la source
Donc
Faut briser les parois
Les paroles sont parfois multiples
Et la voix enfermée dans ma tête
Veux
Que je vienne
La voir au parloir
Aussi impossible que cela puisse vous paraître
Ce qu'elle me dit
Ne vient pas de moi
J'écris tard et le silence aime ce que j'élabore
J'essaie d'animer ce que je pense quand tout le monde sort
Quête du Graal en session motive chaque effort
Mais mon obsession pourrait me faire du tort
J'ai lâché la corde d'un destin sans prise de risque
Pour rêver plus fort
J'ai lâché la corde d'un destin sans prise de risque
Pour rêver plus
Fort
Obsession
Combien de leurres ou de fausses guerres pour trouver la trêve?
Ainsi que de déceptions pour atteindre ses rêves
Je m'oublie et me voue à l'album
Sais tu que mon obsession pourrait bien me déplaire?
Dévoué à la cause l'école du micro d'argent
Je voudrai que ma prose approche le niveau d'avant
Et si l'inspiration me lâche
Alors que le Graal
Je peux l'atteindre de peu
Je crains le désintérêt pour ma passion
Le même
Qu'on a en fin de jeu
Ceux qui se disent pudiques sont des peureux
Je me suis caché durant deux fois dix ans
Je veux que le public s'arrête
Nous regarde en se disant
"On est heureux"
Dans la foule on était à deux
Et si l'avenir se jouait à peu
Il aurait tant de choses que je voudrais adresser à ceux
Qui regardent ceux qui se lâchent comme des envieux
Il n'y a qu'un mot c'est le taf pour aspirer à mieux
S'il n'y a qu'un seul message à prendre dans mes chansons
C'est que j'me méfie du lâche qui s'en remet aux cieux
Donc je demande aux vieux
Est-ce la paresse qui prime face à l'expérience?
Est-ce que
Je me pose les bonnes questions?
Je sens l'oppression de ma bonne conscience
Où va donc ma jeunesse et son insouciance?
Je les
Retrouve a chaque session
Je veux
Me faire une raison en toute circonstance
Au point de confondre la folie et l'obsession
À trop vouloir gagner on finit par se perdre
Quel intérêt de briller si tu n'es plus personne?
Je questionne
Les faits et les dogmes
Les vrais et les autres
Mais c'est dans leur propre vide que les mots résonnent
Faut
Atténuer l'écho
Impossible d'en atteindre la source
Donc
Faut briser les parois
Les paroles sont parfois multiples
Et la voix enfermée dans ma tête
Veux
Que je vienne
La voir au parloir
Aussi impossible que cela puisse vous paraître
Ce qu'elle me dit
Ne vient pas de moi
J'écris tard et le silence aime ce que j'élabore
J'essaie d'animer ce que je pense quand tout le monde sort
Quête du Graal en session motive chaque effort
Mais mon obsession pourrait me faire du tort
J'ai lâché la corde d'un destin sans prise de risque
Pour rêver plus fort
J'ai lâché la corde d'un destin sans prise de risque
Pour rêver plus
Fort
Obsession
Combien de leurres ou de fausses guerres pour trouver la trêve?
Ainsi que de déceptions pour atteindre ses rêves
Je m'oublie et me voue à l'album
Sais tu que mon obsession pourrait bien me déplaire?
Dévoué à la cause l'école du micro d'argent
Je voudrai que ma prose approche le niveau d'avant
Et si l'inspiration me lâche
Alors que le Graal
Je peux l'atteindre de peu
Je crains le désintérêt pour ma passion
Le même
Qu'on a en fin de jeu
Ceux qui se disent pudiques sont des peureux
Je me suis caché durant deux fois dix ans
Je veux que le public s'arrête
Nous regarde en se disant
"On est heureux"
Credits
Writer(s): Paul Buisson, Vasyl Kozma
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