Dites-moi que la vie n'est pas ce qu'on attend d'elle
Dites-moi que la vie n'est pas ce qu'on attend d'elle
Au pied des parapluies, à l'ombre des ombrelles
Communiquez-nous, tous les affres et les ennuis
Dans l'avion, à quatre heures, je serai loin d'ici
Faites-moi des surprises et des aveux démentiels
Effrayez-moi, éclaboussez-moi de sauterelles
Dites-moi que la vie n'est pas ce qu'on attend d'elle
Que notre imagination n'a pas assez d'ailes
Mon cœur n'est plus ici
Il a perdu sa place
J'aurais vécu cent vies
Le temps que tu te lasses
La mort, la nouveauté, les vérités cruelles
Le sexe, la douleur et les couleurs du ciel
Enchevêtrées sont les voies de la délivrance
Attrait, dégoût, tour à tour, auront préséance
Et comme une vague, comme une ritournelle
Je répéterai cette prière immortelle
Pour faire toute la route, les angles inouïs
Qui se révèlent en nous au milieu de la nuit
Mon cœur n'est plus ici
Il a perdu sa place
J'aurais vécu cent vies
Le temps que tu te lasses de moi
Mon cœur n'est plus ici
Il a perdu sa place
J'aurais vécu cent vies
Le temps que tu te lasses
Pour survoler, ouh-ouh la plaine dense
Et l'horizon, l'horizon qui tangue
Ce qui m'attend demain
Est d'une autre essence
Mais je ne la vois pas
Je ne la connais pas
Au pied des parapluies, à l'ombre des ombrelles
Communiquez-nous, tous les affres et les ennuis
Dans l'avion, à quatre heures, je serai loin d'ici
Faites-moi des surprises et des aveux démentiels
Effrayez-moi, éclaboussez-moi de sauterelles
Dites-moi que la vie n'est pas ce qu'on attend d'elle
Que notre imagination n'a pas assez d'ailes
Mon cœur n'est plus ici
Il a perdu sa place
J'aurais vécu cent vies
Le temps que tu te lasses
La mort, la nouveauté, les vérités cruelles
Le sexe, la douleur et les couleurs du ciel
Enchevêtrées sont les voies de la délivrance
Attrait, dégoût, tour à tour, auront préséance
Et comme une vague, comme une ritournelle
Je répéterai cette prière immortelle
Pour faire toute la route, les angles inouïs
Qui se révèlent en nous au milieu de la nuit
Mon cœur n'est plus ici
Il a perdu sa place
J'aurais vécu cent vies
Le temps que tu te lasses de moi
Mon cœur n'est plus ici
Il a perdu sa place
J'aurais vécu cent vies
Le temps que tu te lasses
Pour survoler, ouh-ouh la plaine dense
Et l'horizon, l'horizon qui tangue
Ce qui m'attend demain
Est d'une autre essence
Mais je ne la vois pas
Je ne la connais pas
Credits
Writer(s): Félix Dyotte
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