Oh douce et tendre mère
Ne saurez-vous jamais ce que ressent ce fils
Pour lequel vous avez fait tant de sacrifices, oh douce et tendre mère
Il vous faudra connaître un jour la vérité
Moi, quitte à vous déplaire et vous scandaliser, je me dois de le faire
Je suis très différent du commun des mortels
Et me sens moins heureux au château qu'au bordel, en la chaude atmosphère
De ces lieux qui n'ont pas bonne réputation
À courtiser des filles sans éducation, tendre et hospitalière
Elles savent, ma mère, et du corps et du cœur
Offrir presqu'un foyer, un semblant de bonheur, pour le moins insolite
Et quand je me sens las, et du monde et du bruit
Pour soigner le cafard de mes nuits d'insomnies, chez elles je m'invite
Elles comprennent tout, m'entrainent sans un mot
Dans la chaleur d'un lit et pour panser les maux de mon âme détruite
En m'écoutant parler des heures à cœur ouvert
Elles teintent d'amour le ciel de mes enfers et de ma vie maudite
Ces putains, comme on dit, ne me demandent rien
Acceptant de poser quand armé de fusain certains soir je les croque
Dévoilant pour moi seul dans leur ingénuité
Avec coquetterie leurs charmes frelatés, sans pensées équivoques
Si les us et coutumes de notre milieu
Nous ont à jamais mis un bandeau sur les yeux d'une hypocrite époque
Je les ni, être aimé ici ou bien ailleurs
L'important c'est l'amour, la noblesse du cœur, le reste, je m'en moque
Pour lequel vous avez fait tant de sacrifices, oh douce et tendre mère
Il vous faudra connaître un jour la vérité
Moi, quitte à vous déplaire et vous scandaliser, je me dois de le faire
Je suis très différent du commun des mortels
Et me sens moins heureux au château qu'au bordel, en la chaude atmosphère
De ces lieux qui n'ont pas bonne réputation
À courtiser des filles sans éducation, tendre et hospitalière
Elles savent, ma mère, et du corps et du cœur
Offrir presqu'un foyer, un semblant de bonheur, pour le moins insolite
Et quand je me sens las, et du monde et du bruit
Pour soigner le cafard de mes nuits d'insomnies, chez elles je m'invite
Elles comprennent tout, m'entrainent sans un mot
Dans la chaleur d'un lit et pour panser les maux de mon âme détruite
En m'écoutant parler des heures à cœur ouvert
Elles teintent d'amour le ciel de mes enfers et de ma vie maudite
Ces putains, comme on dit, ne me demandent rien
Acceptant de poser quand armé de fusain certains soir je les croque
Dévoilant pour moi seul dans leur ingénuité
Avec coquetterie leurs charmes frelatés, sans pensées équivoques
Si les us et coutumes de notre milieu
Nous ont à jamais mis un bandeau sur les yeux d'une hypocrite époque
Je les ni, être aimé ici ou bien ailleurs
L'important c'est l'amour, la noblesse du cœur, le reste, je m'en moque
Credits
Writer(s): Charles Aznavourian
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