Cômelepadre.
Comme le padre, ils auront toujours des trucs à redire
Ils ont aucune cartouche, non rien qu'on tire
J'ai les gamberges qui empirent
Mes sales visions qui reviennent, mais en pire, ah
Je partage aucun rappeur, je partage que mes peurs
Je cherche sa main quand ce passé m'effleure
Je fais ça bien, eux ça les écœure
Dans mon jardin, ils veulent écraser mes fleurs
À la base, je suis un cavant (tout le monde)
Je me suis intéressé au foot pour avoir des discussions avec le daron
Je te mets les basses, faut que tu captes qu'avant ça
Dans la pièce, moi, j'étais une tâche marron
Début de vie bancale, depuis que je m'en souvienne (ça m'a poncé)
Aujourd'hui, je me sens comme Bellingham dans le temps additionnel
Maintenant, ma vie c'est les montagnes Russes (Russes)
Les gens trop énergiques, moi ça m'agresse
Manquer d'adresse, j'ai la presse qui ge-ju comme les tapas d'un tabac presse
En vrai, les étoiles entre elles, de quoi parle-t-elle?
Je leur ai crié mon tel', j'attends qu'elles m'appellent
J'aimerais savoir si mes plans et les leurs sont les mêmes, ah ouais (ah ouais)
Dans la ville, ils se sont pris nos taffs (tous)
Y en a ils ont revu toute leur DA (ouais)
Les mêmes qui se marraient que moi, aujourd'hui, ils paraissent moins froids (ouais)
C'est gênant, je fais comme si je m'en rappelais pas
Vous faites comme si je rappais pas (ouais, faites comme ça)
Comme le padre, ils auront toujours des trucs à redire
Ils ont aucune cartouche, non rien qu'on tire
J'ai les gamberges qui empirent
Mes sales visions qui reviennent, mais en pire, ah
Je partage aucun rappeur, je partage que mes peurs
Je cherche sa main quand ce passé m'effleure
Je fais ça bien, eux ça les écœure
Dans mon jardin, ils veulent écraser mes fleurs (yeah)
Je peux pas les laisser me juger, ils découvrent à peine le sexe
Moi, je suis à découvert le sept
Je reconnais leur vie sans pousser (je reconnais tout)
Je fais genre de rien pour mieux les repousser
Chez nous, on se dit pas, "Je t'aime", c'est comme ça
Mais j'aurais peut-être voulu l'entendre une fois
Pour pas les chercher dans les bras d'une folle (folle)
Le vent fait trembler mon reflet dans la flotte
Je vois ça comme un signe de mon âme, qui me fait un feedback
Mais je l'écoute pas (non)
Tant qu'on n'y parodique pas (non)
Que le quartier nous quitte pas (que le quartier nous quitte pas)
J'essaie d'échapper à mes mauvaises prédictions, en même temps
Je les cultive comme une addiction (yes)
Je sais jamais quand fuir, quand ralentir, quand ralentir
J'ai, devant le danger, était figé (hein)
J'ai débranché tous les fils, c'est (j'ai débran-)
Ma seule réponse à ces fils de (yah)
Les belles pensées sont éclipsées, par des quêtes artificielles (-ficielles)
Dont on voit toutes les ficelles (ficelles)
La vague
Comme le padre, ils auront toujours des trucs à redire
Ils ont aucune cartouche, non rien qu'on tire
J'ai les gamberges qui empirent
Mes sales visions qui reviennent, mais en pire, ah
Je partage aucun rappeur, je partage que mes peurs
Je cherche sa main quand ce passé m'effleure
Je fais ça bien, eux ça les écœure
Dans mon jardin, ils veulent écraser mes fleurs
Ils ont aucune cartouche, non rien qu'on tire
J'ai les gamberges qui empirent
Mes sales visions qui reviennent, mais en pire, ah
Je partage aucun rappeur, je partage que mes peurs
Je cherche sa main quand ce passé m'effleure
Je fais ça bien, eux ça les écœure
Dans mon jardin, ils veulent écraser mes fleurs
À la base, je suis un cavant (tout le monde)
Je me suis intéressé au foot pour avoir des discussions avec le daron
Je te mets les basses, faut que tu captes qu'avant ça
Dans la pièce, moi, j'étais une tâche marron
Début de vie bancale, depuis que je m'en souvienne (ça m'a poncé)
Aujourd'hui, je me sens comme Bellingham dans le temps additionnel
Maintenant, ma vie c'est les montagnes Russes (Russes)
Les gens trop énergiques, moi ça m'agresse
Manquer d'adresse, j'ai la presse qui ge-ju comme les tapas d'un tabac presse
En vrai, les étoiles entre elles, de quoi parle-t-elle?
Je leur ai crié mon tel', j'attends qu'elles m'appellent
J'aimerais savoir si mes plans et les leurs sont les mêmes, ah ouais (ah ouais)
Dans la ville, ils se sont pris nos taffs (tous)
Y en a ils ont revu toute leur DA (ouais)
Les mêmes qui se marraient que moi, aujourd'hui, ils paraissent moins froids (ouais)
C'est gênant, je fais comme si je m'en rappelais pas
Vous faites comme si je rappais pas (ouais, faites comme ça)
Comme le padre, ils auront toujours des trucs à redire
Ils ont aucune cartouche, non rien qu'on tire
J'ai les gamberges qui empirent
Mes sales visions qui reviennent, mais en pire, ah
Je partage aucun rappeur, je partage que mes peurs
Je cherche sa main quand ce passé m'effleure
Je fais ça bien, eux ça les écœure
Dans mon jardin, ils veulent écraser mes fleurs (yeah)
Je peux pas les laisser me juger, ils découvrent à peine le sexe
Moi, je suis à découvert le sept
Je reconnais leur vie sans pousser (je reconnais tout)
Je fais genre de rien pour mieux les repousser
Chez nous, on se dit pas, "Je t'aime", c'est comme ça
Mais j'aurais peut-être voulu l'entendre une fois
Pour pas les chercher dans les bras d'une folle (folle)
Le vent fait trembler mon reflet dans la flotte
Je vois ça comme un signe de mon âme, qui me fait un feedback
Mais je l'écoute pas (non)
Tant qu'on n'y parodique pas (non)
Que le quartier nous quitte pas (que le quartier nous quitte pas)
J'essaie d'échapper à mes mauvaises prédictions, en même temps
Je les cultive comme une addiction (yes)
Je sais jamais quand fuir, quand ralentir, quand ralentir
J'ai, devant le danger, était figé (hein)
J'ai débranché tous les fils, c'est (j'ai débran-)
Ma seule réponse à ces fils de (yah)
Les belles pensées sont éclipsées, par des quêtes artificielles (-ficielles)
Dont on voit toutes les ficelles (ficelles)
La vague
Comme le padre, ils auront toujours des trucs à redire
Ils ont aucune cartouche, non rien qu'on tire
J'ai les gamberges qui empirent
Mes sales visions qui reviennent, mais en pire, ah
Je partage aucun rappeur, je partage que mes peurs
Je cherche sa main quand ce passé m'effleure
Je fais ça bien, eux ça les écœure
Dans mon jardin, ils veulent écraser mes fleurs
Credits
Writer(s): Briac Severe
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