Grisaille
Y a Boumi'
Carré (you know, I don't like to do that)
L'eau, c'est fait pour s'essuyer l'cul, le PQ, c'est fait pour essuyer l'eau
Le truc, c'est fait pour chiffonner l'autre et l'chiffon, c'est fait pour essuyer l'truc
Va dormir et finit tes rêves, c'est des raclos sans intérêt
On gratte plus les sous d'l'intérim, on encaisse salement, c'est terrible
Cette connasse dit qu'elle veut bosser, elle voit comment j'envoie en soirée
J'lui mets à l'endroit, à l'envers, j'lui mords l'oreille comme Suárez
Une injection cutané ('né) et son visage, il prend dix années
On laisse la dure, on prend la douce, gros, après un petit poulet boucané
Les petits en Maseratti ('tti), vivent la vie de Verratti ('tti)
On envoie cent 'teilles à six, gros, on force pas, on rentre en Asics, gros
Tu manges un grec vers Antalya (Antalya), ta carte sonne en Italie (Italie)
Un crédit, un placement, un dû, maintenant, faut qu'tu sers la ceinture, gros, carré (Carré, carré)
Du violet, du vert, comme Gelato, Lamborghini, Murcielago
Du Gris Montaigne, du gris Nardo ('do, 'do)
Faut toucher la tonne, toucher la lune, toucher le cœur de ceux qui t'aimes
Et le gros fiak de la matonne ('tonne, 'tonne)
Que des sales histoires, des frères au shtar
Ce qui nous tiens, gros, c'est l'espoir
Y a trop d'histoires, voilà l'histoire ('stoire)
Toi, t'as plus d'espoir, on la connaît ta vie de star
Tu touches le 'sky que dans les Snap, canalise-toi (toi)
Que des sales histoires, des frères au shtar
Ce qui nous tiens, gros, c'est l'espoir
Y a trop d'histoires, voilà l'histoire ('stoire)
Toi, t'as plus d'espoir, on la connaît ta vie de star
Tu touches le 'sky que dans les Snap, canalise-toi
Et j'redoute les flammes de l'incendie, donc on va pas s'fumer pour des centimes (des centimes)
J'cavale jamais sur un 100 mètres, mec, même si y a 60 ou 100 mecs, mec (100 mecs, mec)
J'la pillave avec ou sans micmac, j'arrive en travers, tout en zigzag
J'me méfie des chanteurs, vendeurs de rêves, gros, la rue, c'est un peu comme la zigzag (la zigzag)
J'pousse pas la fonte et la cause, pousse la voiture à 300, la concu' dans l'vide (dans l'vide)
J'tire une taffe de Cali', la quali', ses cheveux aussi sur le videur
Une amitié qui vaut l'prix d'la location, t'es payé en couteux dans l'dos à l'occasion
Facile de s'faire 15 amis en un an, dur de garder un ami pendant 15 ans
Le monde est méchant, c'est réel (réel), montre à l'humain c'que tu possèdes (tu possèdes)
Et son vrai visage se révèle (se révèle), tu t'es fais levé au réveil (au réveil)
Le monde est méchant, c'est réel (réel), montre à l'humain c'que tu possèdes (tu possèdes)
Et son vrai visage se révèle (se révèle), tu t'es fais levé au réveil (au réveil)
Du violet, du vert, comme Gelato, Lamborghini, Murcielago
Du Gris Montaigne, du gris Nardo ('do, 'do)
Faut toucher la tonne, toucher la lune, toucher le cœur de ceux qui t'aimes
Et le gros fiak de la matonne ('tonne, 'tonne)
Que des sales histoires, des frères au shtar
Ce qui nous tiens, gros, c'est l'espoir
Y a trop d'histoires, voilà l'histoire ('stoire)
Toi, t'as plus d'espoir, on la connaît ta vie de star
Tu touches le 'sky que dans les Snap, canalise-toi (toi)
Que des sales histoires, des frères au shtar
Ce qui nous tiens, gros, c'est l'espoir
Y a trop d'histoires, voilà l'histoire ('stoire)
Toi, t'as plus d'espoir, on la connaît ta vie de star
Tu touches le 'sky que dans les Snap, canalise-toi
Carré (you know, I don't like to do that)
L'eau, c'est fait pour s'essuyer l'cul, le PQ, c'est fait pour essuyer l'eau
Le truc, c'est fait pour chiffonner l'autre et l'chiffon, c'est fait pour essuyer l'truc
Va dormir et finit tes rêves, c'est des raclos sans intérêt
On gratte plus les sous d'l'intérim, on encaisse salement, c'est terrible
Cette connasse dit qu'elle veut bosser, elle voit comment j'envoie en soirée
J'lui mets à l'endroit, à l'envers, j'lui mords l'oreille comme Suárez
Une injection cutané ('né) et son visage, il prend dix années
On laisse la dure, on prend la douce, gros, après un petit poulet boucané
Les petits en Maseratti ('tti), vivent la vie de Verratti ('tti)
On envoie cent 'teilles à six, gros, on force pas, on rentre en Asics, gros
Tu manges un grec vers Antalya (Antalya), ta carte sonne en Italie (Italie)
Un crédit, un placement, un dû, maintenant, faut qu'tu sers la ceinture, gros, carré (Carré, carré)
Du violet, du vert, comme Gelato, Lamborghini, Murcielago
Du Gris Montaigne, du gris Nardo ('do, 'do)
Faut toucher la tonne, toucher la lune, toucher le cœur de ceux qui t'aimes
Et le gros fiak de la matonne ('tonne, 'tonne)
Que des sales histoires, des frères au shtar
Ce qui nous tiens, gros, c'est l'espoir
Y a trop d'histoires, voilà l'histoire ('stoire)
Toi, t'as plus d'espoir, on la connaît ta vie de star
Tu touches le 'sky que dans les Snap, canalise-toi (toi)
Que des sales histoires, des frères au shtar
Ce qui nous tiens, gros, c'est l'espoir
Y a trop d'histoires, voilà l'histoire ('stoire)
Toi, t'as plus d'espoir, on la connaît ta vie de star
Tu touches le 'sky que dans les Snap, canalise-toi
Et j'redoute les flammes de l'incendie, donc on va pas s'fumer pour des centimes (des centimes)
J'cavale jamais sur un 100 mètres, mec, même si y a 60 ou 100 mecs, mec (100 mecs, mec)
J'la pillave avec ou sans micmac, j'arrive en travers, tout en zigzag
J'me méfie des chanteurs, vendeurs de rêves, gros, la rue, c'est un peu comme la zigzag (la zigzag)
J'pousse pas la fonte et la cause, pousse la voiture à 300, la concu' dans l'vide (dans l'vide)
J'tire une taffe de Cali', la quali', ses cheveux aussi sur le videur
Une amitié qui vaut l'prix d'la location, t'es payé en couteux dans l'dos à l'occasion
Facile de s'faire 15 amis en un an, dur de garder un ami pendant 15 ans
Le monde est méchant, c'est réel (réel), montre à l'humain c'que tu possèdes (tu possèdes)
Et son vrai visage se révèle (se révèle), tu t'es fais levé au réveil (au réveil)
Le monde est méchant, c'est réel (réel), montre à l'humain c'que tu possèdes (tu possèdes)
Et son vrai visage se révèle (se révèle), tu t'es fais levé au réveil (au réveil)
Du violet, du vert, comme Gelato, Lamborghini, Murcielago
Du Gris Montaigne, du gris Nardo ('do, 'do)
Faut toucher la tonne, toucher la lune, toucher le cœur de ceux qui t'aimes
Et le gros fiak de la matonne ('tonne, 'tonne)
Que des sales histoires, des frères au shtar
Ce qui nous tiens, gros, c'est l'espoir
Y a trop d'histoires, voilà l'histoire ('stoire)
Toi, t'as plus d'espoir, on la connaît ta vie de star
Tu touches le 'sky que dans les Snap, canalise-toi (toi)
Que des sales histoires, des frères au shtar
Ce qui nous tiens, gros, c'est l'espoir
Y a trop d'histoires, voilà l'histoire ('stoire)
Toi, t'as plus d'espoir, on la connaît ta vie de star
Tu touches le 'sky que dans les Snap, canalise-toi
Credits
Writer(s): Ulysse Melvil Poletti, Soriba Konde, Youri Joseph Yves Krief, Jeremy Bana Owona
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.