Les Mensonges
C'est la rage biffée sur l'écrit des destins
C'est l'orage qui crie les éclairs de tes mains
Un hiver déchiré, griffée d'été indien
Comme envie de hurler, coups de pied coups de poing
C'est quand ton aube court à rebours sur mes nuits
Que l'on cherche au dessin les traits de crayon gris
L'esquisse d'aurore sur le jour qui pâlit
Comme envie de boire ton alcool d'insomnie
C'est ce monde tremblant mais personne n'écoute
Les sentiments restant sur les rebords des routes
Toutes les montres semblent en avance d'un doute
Les mensonges narguent, les vérités s'en foutent
C'est quand l'amour est mort jusque dans les hôtels
Lorsqu'on se soûle encore et qu'on reste fidèle
Aux heures moins le quart, aux heures blanches d'elles
Ces ivresses d'argent qu'on jure sur l'autel
C'est quand ma main serpent écrit ses reptations
Fatiguée de ramper dans les aliénations
Cette industrie de lianes où pendent mes visions
Pendues comme des âmes en manque d'illusions
C'est quand au garde à vous la terre va crever
Que la grande fanfare est à bout de souffler
La fausse mémoire que tout peut s'oublier
C'est quand ce cauchemar peut enfin s'arrêter
C'est l'orage qui crie les éclairs de tes mains
Un hiver déchiré, griffée d'été indien
Comme envie de hurler, coups de pied coups de poing
C'est quand ton aube court à rebours sur mes nuits
Que l'on cherche au dessin les traits de crayon gris
L'esquisse d'aurore sur le jour qui pâlit
Comme envie de boire ton alcool d'insomnie
C'est ce monde tremblant mais personne n'écoute
Les sentiments restant sur les rebords des routes
Toutes les montres semblent en avance d'un doute
Les mensonges narguent, les vérités s'en foutent
C'est quand l'amour est mort jusque dans les hôtels
Lorsqu'on se soûle encore et qu'on reste fidèle
Aux heures moins le quart, aux heures blanches d'elles
Ces ivresses d'argent qu'on jure sur l'autel
C'est quand ma main serpent écrit ses reptations
Fatiguée de ramper dans les aliénations
Cette industrie de lianes où pendent mes visions
Pendues comme des âmes en manque d'illusions
C'est quand au garde à vous la terre va crever
Que la grande fanfare est à bout de souffler
La fausse mémoire que tout peut s'oublier
C'est quand ce cauchemar peut enfin s'arrêter
Credits
Writer(s): Michel Vieulle
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