Le fond
Il est temps pour moi de mettre à table
Cracher le morceau, reconnaitre que je suis pas si affable
Ereinté, fatigué jusqu'à ma forme de robot
Pour protéger l'ado chouineur à fleur de peau
Avec mes bas très bas et mes hauts très haut
Même si ça tu vois, ces derniers temps, j'ai beau chercher, chercher des hauts il n'y en a plus trop
Ma mère est morte, je vais encore la pleurer longtemps
Même après 2 ans, cette maladie je me la prend encore dans les dents
On nous dit de prendre soin de soi, d'aller mieux, de sortir, de vivre avant d'être vieux
Mais tu vois pour moi prendre soin de soi, ça sonne terriblement comme prendre sur soi
Alors on prend, on prend, on porte mais jusqu'à quel poids. On porte jusqu'à ce que l'on ploie
Les angoisses c'est ma daronne névrosée qui me les a filés
Avec ses yeux mouillés et ses larmes effacées
A s'inquiéter, cogiter, elle m'a transmis que tout n'est que précarité
J'ai porté jusqu'à casser l'armure, jusqu'à ce que ce putain de robot se fissure
J'avais plus rien que mes angoisses et la peur du futur
En boule la tête dans les mains, étouffé par demain
Bang bang bang
J'extermine ta peine
Emprisonnée au bout de mes chaînes
Comment cette drogue dans tes veines
Te conduirait à une fin soudaine
Compulsif
Addictif
Tout juste excessif
Compulsif
Addictif
T'es déjà captif
Je sais ce que tu veux
Les paradis artificiels quelques bonnes ficelles
Je sais ce que tu auras
Quelques plaisirs instantanés et ce jusqu'à trépas
Bang bang bang
Dans les méandres obscures
Emprunt de spleen et de no futur
Quand en arriver là
Demande juste de baisser les bras
Compulsif
Addictif
Tout juste excessif
Compulsif
Addictif
T'es déjà captif
Je sais ce que tu veux
Les paradis artificiels quelques bonnes ficelles
Je sais ce que tu auras
Quelques plaisirs instantanés et ce jusqu'à trépas
Il est deux heures passées, je regarde en l'air
A moitié nu, je suis perdu, claqué par terre
Mes dépendances dépendant de mes dépenses impensables
Mes pensées, elles restent insaisissables
Je me roule en boule et je tourne en rond sans jamais réaliser que j'ai touché le fond et que peut être cette fois c'est pour de bon
Je me rassure parfois en me disant que je suis pas seul à être seul
Que d'autres aussi doivent avoir du mal à assembler le puzzle
Qu'on a tous le droit d'exister que jusqu'à ce que le monde nous dégueule
Qu'on a tous le droit d'exister que jusqu'à ce que le monde nous dégueule Jusqu'à ce que ce putain de monde nous dégueule
Cracher le morceau, reconnaitre que je suis pas si affable
Ereinté, fatigué jusqu'à ma forme de robot
Pour protéger l'ado chouineur à fleur de peau
Avec mes bas très bas et mes hauts très haut
Même si ça tu vois, ces derniers temps, j'ai beau chercher, chercher des hauts il n'y en a plus trop
Ma mère est morte, je vais encore la pleurer longtemps
Même après 2 ans, cette maladie je me la prend encore dans les dents
On nous dit de prendre soin de soi, d'aller mieux, de sortir, de vivre avant d'être vieux
Mais tu vois pour moi prendre soin de soi, ça sonne terriblement comme prendre sur soi
Alors on prend, on prend, on porte mais jusqu'à quel poids. On porte jusqu'à ce que l'on ploie
Les angoisses c'est ma daronne névrosée qui me les a filés
Avec ses yeux mouillés et ses larmes effacées
A s'inquiéter, cogiter, elle m'a transmis que tout n'est que précarité
J'ai porté jusqu'à casser l'armure, jusqu'à ce que ce putain de robot se fissure
J'avais plus rien que mes angoisses et la peur du futur
En boule la tête dans les mains, étouffé par demain
Bang bang bang
J'extermine ta peine
Emprisonnée au bout de mes chaînes
Comment cette drogue dans tes veines
Te conduirait à une fin soudaine
Compulsif
Addictif
Tout juste excessif
Compulsif
Addictif
T'es déjà captif
Je sais ce que tu veux
Les paradis artificiels quelques bonnes ficelles
Je sais ce que tu auras
Quelques plaisirs instantanés et ce jusqu'à trépas
Bang bang bang
Dans les méandres obscures
Emprunt de spleen et de no futur
Quand en arriver là
Demande juste de baisser les bras
Compulsif
Addictif
Tout juste excessif
Compulsif
Addictif
T'es déjà captif
Je sais ce que tu veux
Les paradis artificiels quelques bonnes ficelles
Je sais ce que tu auras
Quelques plaisirs instantanés et ce jusqu'à trépas
Il est deux heures passées, je regarde en l'air
A moitié nu, je suis perdu, claqué par terre
Mes dépendances dépendant de mes dépenses impensables
Mes pensées, elles restent insaisissables
Je me roule en boule et je tourne en rond sans jamais réaliser que j'ai touché le fond et que peut être cette fois c'est pour de bon
Je me rassure parfois en me disant que je suis pas seul à être seul
Que d'autres aussi doivent avoir du mal à assembler le puzzle
Qu'on a tous le droit d'exister que jusqu'à ce que le monde nous dégueule
Qu'on a tous le droit d'exister que jusqu'à ce que le monde nous dégueule Jusqu'à ce que ce putain de monde nous dégueule
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