Tout recommencer
Depuis longtemps j'essaye de comprendre de savoir
Pourquoi certains maux guérissent et d'autres ne le peuvent pas
Enfant, tes bras me rassuraient, les yeux voilés par la tendresse
Aujourd'hui, ce sont eux qui étouffent, qui creusent les plaies
Mais c'est vrai, il n'y a pas eu que ça
Les questions, les mensonges, les pourquoi tirés comme des balles
Ce sentiment de ne pas être ce que l'on devrait être, les rires encore, le regard des autres
Toutes ces voix qui tournent en boucle
Qui m'apprendra à être moi
Alors maintenant je m'adresse à ceux qui voudront bien écouter
À ceux qui comprendront peut-être, ou à ceux qui sont juste là
Il y a ces douleurs trop fortes pour qu'on les taise, pourtant ce sont elles qui nous rendent muets
Chaque jour devient un test
Une chance pour oublier, pour renaître
Mais la lune salue mes faiblesses
Elle n'attendra pas que l'orage vienne
La marionnette danse, maquillée par des tons vifs
La marionnette chante et chaque soir elle se brise
Et face au miroir, elle se dit
Les souvenirs me hantent et reviennent encore
Aveuglée par ton absence folle
Je me noie dans mon corps
Et j'attends que le vent change, que le noir s'efface sans laisser de traces
Mais je t'en prie, ne m'oublie pas
J'ai passé mes dernières nuits à pleurer, à sécher ce qui ne peut s'oublier
Ces quelques notes témoignent des blessures gravées
Mais le temps passe et rien ne semble changer
Le vide grandit encore, la peine s'installe
Et mes pas sont enchaînés
Tout, j'aimerais pouvoir tout recommencer
Renaître un jour d'orage quand les corbeaux cessent de chanter
Mais tout, je ressens tous ces coups étouffés
L'écho sourd des cris qui résonnent, la bataille prête à éclater
Et pendant que les mains tremblent, la poitrine se serre
Mon seul ami, dit-elle, ces calmants qui taisent les rêves
La paix n'y pense plus, n'y croit plus, cela fait longtemps que le cœur se noie en enfer
Mais le pire arrive quand vient le soir
Les heures entières passées dans les bras de la dame noire
Comme un appel, seule reste sa voix
Mes rires aussi, étaient-ils de toi
Mais que reste-t-il sans eux
Que me reste-t-il si je ne suis que moi
Les secondes s'écoulent, toujours personne à part toi
Dis-moi rallume-moi
J'ai ces voix qui hurlent
Elles me crient d'arrêter, je n'y arriverai pas
Mon esprit me lâche, vidé des sentiments
Comment on vit? Pas comme ça
Pas comme ça, pas comme moi
Pas comme ça
J'aimerais pouvoir tout recommencer
Pourquoi certains maux guérissent et d'autres ne le peuvent pas
Enfant, tes bras me rassuraient, les yeux voilés par la tendresse
Aujourd'hui, ce sont eux qui étouffent, qui creusent les plaies
Mais c'est vrai, il n'y a pas eu que ça
Les questions, les mensonges, les pourquoi tirés comme des balles
Ce sentiment de ne pas être ce que l'on devrait être, les rires encore, le regard des autres
Toutes ces voix qui tournent en boucle
Qui m'apprendra à être moi
Alors maintenant je m'adresse à ceux qui voudront bien écouter
À ceux qui comprendront peut-être, ou à ceux qui sont juste là
Il y a ces douleurs trop fortes pour qu'on les taise, pourtant ce sont elles qui nous rendent muets
Chaque jour devient un test
Une chance pour oublier, pour renaître
Mais la lune salue mes faiblesses
Elle n'attendra pas que l'orage vienne
La marionnette danse, maquillée par des tons vifs
La marionnette chante et chaque soir elle se brise
Et face au miroir, elle se dit
Les souvenirs me hantent et reviennent encore
Aveuglée par ton absence folle
Je me noie dans mon corps
Et j'attends que le vent change, que le noir s'efface sans laisser de traces
Mais je t'en prie, ne m'oublie pas
J'ai passé mes dernières nuits à pleurer, à sécher ce qui ne peut s'oublier
Ces quelques notes témoignent des blessures gravées
Mais le temps passe et rien ne semble changer
Le vide grandit encore, la peine s'installe
Et mes pas sont enchaînés
Tout, j'aimerais pouvoir tout recommencer
Renaître un jour d'orage quand les corbeaux cessent de chanter
Mais tout, je ressens tous ces coups étouffés
L'écho sourd des cris qui résonnent, la bataille prête à éclater
Et pendant que les mains tremblent, la poitrine se serre
Mon seul ami, dit-elle, ces calmants qui taisent les rêves
La paix n'y pense plus, n'y croit plus, cela fait longtemps que le cœur se noie en enfer
Mais le pire arrive quand vient le soir
Les heures entières passées dans les bras de la dame noire
Comme un appel, seule reste sa voix
Mes rires aussi, étaient-ils de toi
Mais que reste-t-il sans eux
Que me reste-t-il si je ne suis que moi
Les secondes s'écoulent, toujours personne à part toi
Dis-moi rallume-moi
J'ai ces voix qui hurlent
Elles me crient d'arrêter, je n'y arriverai pas
Mon esprit me lâche, vidé des sentiments
Comment on vit? Pas comme ça
Pas comme ça, pas comme moi
Pas comme ça
J'aimerais pouvoir tout recommencer
Credits
Writer(s): Lorraine Monet
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