Laisse

Tu connais ton boug

Boji

Baisse d'un ton quand tu m'parles
Faut pas qu'tu m'stresses
Tu connais ton boug
Faut pas le brusquer, faut de la noblesse
Ah quelle extase, baby girl n'a pas de paresse
Toujours été palpé vu le faciès
Combien de fois je l'ai vesqui de justesse

Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse, les parler
Ils connaissent rien de moi, quelle tristesse
Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse
J'ai connu des insomnies qui bravaient l'ivresse

Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse
On a des soucis, c'est pas grave, on encaisse
Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse
Ma résilience, c'est ma plus grande richesse

Ils ont mon adresse
Mais ils connaissent aussi mon hardiesse
J'ignore doute et détresse
Dans mon silence, la vérité se confesse
Beaucoup trop de on-dit
Au milieu des pipeaux et des non-dits, ohlala
Papa, j'suis plus un bandit
Éternel incompris, j'suis

Navré, j't'ai blessé mais c'qui s'est passé
Je n'pourrais jamais l'effacer
J't'ai laissé, je n'pouvais rester
Navré

Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse, les parler
Ils connaissent rien de moi, quelle tristesse
Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse
J'ai connu des insomnies qui bravaient l'ivresse

Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse
On a des soucis, c'est pas grave, on encaisse
Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse
Ma résilience, c'est ma plus grande richesse

Reste courtois quand tu m'causes
J'vais t'refroidir si tu fais l'chaud
Elle, c'est ma baby girl, elle m'hypnose
C'est avec le silence que je cause
Ils racontes des bobards sur ma vida loca
Loco loca, faut tenir ta boca
Elle est so bad, j'suis un Mwana Mboka
Dans une sacrée salade, j'ai un bon avocat
Et c'est irrévocable, quand on vient, c'est trop tard
Comme un motard, j'suis à fond et sans casque
Dans le çon-cale, des couilles à plus d'100k
Garder son calme, tout niquer, c'est l'combat

Navré, j't'ai blessé mais c'qui s'est passé
Je n'pourrais jamais l'effacer
J't'ai laissé, je n'pouvais rester
Navré

Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse, les parler
Ils connaissent rien de moi, quelle tristesse
Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse
J'ai connu des insomnies qui bravaient l'ivresse

Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse
On a des soucis, c'est pas grave, on encaisse
Laisse, laisse, laisse, laisse, laisse
Ma résilience est ma plus grande richesse



Credits
Writer(s): Boji Banvin
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