Pousses d'hier
L'urgence était de vivre à tout prix, oh oui
Après tout, nous sommes, l'enfer et le paradis
Combien d'époques faudra-t-il pour atteindre cette paix
Ô Tranquillité heureuse, l'être qui espérait
Les cicatrices de l'invisible, mirage de l'âge
Tient en son sein, des multitudes d'instincts sauvages
L'à-venir, éclaire l'origine de notre mal
Âme masquée, se dirigeant vers le carnaval
L'éternité, engendre le souffle du temps
Dévoile, frissonne, la brise subtile du lierre d'antan
L'enfance, malicieuse, est le terrain où
Les graines se plantent, germent à l'adolescence
De Jeunes pousses d'adultes, ancrant la racine du tout
Reboise forêt d'esprits, croît ton arborescence
Parfois à la surface du soi, aveugle du moi
Tant d'inconnus d'eux-mêmes que j'ai côtoyés
Que j'observe par delà les frontières de la foi
Le sable sème le temps qui ne peut être gagné
Et d'autres fois, fleurit des incarnations
Dont la chair transpire l'ère paisible de Zion
Eclaire le nuage, libère ta mémoire
L'essentiel, peut-être, qui sait, c'est d'y croire
Voyons, avons-nous appris à la lire cette vie?
Qui l'observe avec un soupçon de coeur
Met en cendre, les chagrins d'un monde évanoui
Nébuleuse d'étincelles, surgit la bonne heure
Qu'adviendra-t-il de nous à la belle vieillesse
Voguerons nous vers une tendre allégresse
Quelles dernières paroles auront été prononcées
À toute personne, vivante ou ayant trépassé
Que restera-t-il de nous, de nous tous, à part
Des pousses d'hier
Après tout, nous sommes, l'enfer et le paradis
Combien d'époques faudra-t-il pour atteindre cette paix
Ô Tranquillité heureuse, l'être qui espérait
Les cicatrices de l'invisible, mirage de l'âge
Tient en son sein, des multitudes d'instincts sauvages
L'à-venir, éclaire l'origine de notre mal
Âme masquée, se dirigeant vers le carnaval
L'éternité, engendre le souffle du temps
Dévoile, frissonne, la brise subtile du lierre d'antan
L'enfance, malicieuse, est le terrain où
Les graines se plantent, germent à l'adolescence
De Jeunes pousses d'adultes, ancrant la racine du tout
Reboise forêt d'esprits, croît ton arborescence
Parfois à la surface du soi, aveugle du moi
Tant d'inconnus d'eux-mêmes que j'ai côtoyés
Que j'observe par delà les frontières de la foi
Le sable sème le temps qui ne peut être gagné
Et d'autres fois, fleurit des incarnations
Dont la chair transpire l'ère paisible de Zion
Eclaire le nuage, libère ta mémoire
L'essentiel, peut-être, qui sait, c'est d'y croire
Voyons, avons-nous appris à la lire cette vie?
Qui l'observe avec un soupçon de coeur
Met en cendre, les chagrins d'un monde évanoui
Nébuleuse d'étincelles, surgit la bonne heure
Qu'adviendra-t-il de nous à la belle vieillesse
Voguerons nous vers une tendre allégresse
Quelles dernières paroles auront été prononcées
À toute personne, vivante ou ayant trépassé
Que restera-t-il de nous, de nous tous, à part
Des pousses d'hier
Credits
Writer(s): Déborah Paunot, Johann Sebastian Bach
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