Dans le ciel
Parfois la vie nous pique au foi, on voudrait les nôtres immortels,
Combiens se sont barrés sans dire au revoir à tire d'ailes.
Combiens manquent à l'appel et laissent un vide quand viens le soir,
Combiens de nids jadis douillés aujourd'hui restent froids.
Combien de temps il nous a vraiment fallu pour y croire,
Même à présent on l'sait seulement on s'y fait toujours pas.
Combiens de gens partis trop tôt sans qu'on ai pu leurs dire,
Qu'on les aimait vraiment sans honte et sans se retenir.
Combiens de projets d'avenirs ont finis shootés en plein ciel,
Combiens de sonneries la nuit et autant de mauvais réveils.
Ce jour ou on nous dit: écoute, il faut que tu sois fort
Ce jour qui crucifie les curs fait de pierre ou en or.
Ce jour qu'on maudit tous et qui, chaque année nous rappelle,
Que le temps n'efface rien seulement voilà, on vit avec.
On se console comme on peut, alors souvent on lève la tête,
Et on vise les étoiles en espérant le reconnaitre.
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui,
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille.
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille,
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes.
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit,
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini.
Un astre s'illumine, comme un clin d'il céleste,
Se caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes.
Combiens de pères, de mères se sont vus de leurs chaire délestés,
Combiens de gerbes dans les virages trop raides et trop arrosés?
Combiens de frères, de surs, de fleurs devant des corps alités,
Combiens de battements, subitement, se sont arrêtés?
Et toutes ces belles phrases censées consoler, quand c'est
Au fonds de nous, mais que la peine nous empêche d'écouter.
Frappés par la douleur, combiens se sont effondrés?
Entre colère et tristesse, parfois c'est dur de se relever,
Qu'on s'y attende ou pas, quand ça arrive, ça gifle,
On se demande pourquoi c'est toujours les bons qui tirent l'as de pique.
On garde en tête ces moments qui nous font sourire seuls,
Lorsque le manque est trop fort, y'a plus que ça qui nous fait tenir.
Alors on fait le tri et on garde le meilleur,
On est bien à l'abri dans un tiroir caché au fond du cur.
Et grâce à ça, on s'ra jamais tout seul,
Jamais en pannes dans ces moments où il y'a personne pour nous remettre en scelle.
On sait pourtant que tout ici fini comme ça,
Y'a toujours un départ, seulement y'a des envols qu'on n'admet pas.
On se surprend parfois à relever la tête,
A fixer les étoiles en cherchant à le reconnaitre.
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui,
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille.
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille,
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes.
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit,
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini.
Un astre s'illumine, comme un clin d'il céleste,
Se caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes.
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui,
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille.
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille,
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes.
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit,
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini.
Un astre s'illumine, comme un clin d'il céleste,
Se caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes.
Et parfois dans le ciel
Combiens se sont barrés sans dire au revoir à tire d'ailes.
Combiens manquent à l'appel et laissent un vide quand viens le soir,
Combiens de nids jadis douillés aujourd'hui restent froids.
Combien de temps il nous a vraiment fallu pour y croire,
Même à présent on l'sait seulement on s'y fait toujours pas.
Combiens de gens partis trop tôt sans qu'on ai pu leurs dire,
Qu'on les aimait vraiment sans honte et sans se retenir.
Combiens de projets d'avenirs ont finis shootés en plein ciel,
Combiens de sonneries la nuit et autant de mauvais réveils.
Ce jour ou on nous dit: écoute, il faut que tu sois fort
Ce jour qui crucifie les curs fait de pierre ou en or.
Ce jour qu'on maudit tous et qui, chaque année nous rappelle,
Que le temps n'efface rien seulement voilà, on vit avec.
On se console comme on peut, alors souvent on lève la tête,
Et on vise les étoiles en espérant le reconnaitre.
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui,
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille.
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille,
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes.
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit,
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini.
Un astre s'illumine, comme un clin d'il céleste,
Se caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes.
Combiens de pères, de mères se sont vus de leurs chaire délestés,
Combiens de gerbes dans les virages trop raides et trop arrosés?
Combiens de frères, de surs, de fleurs devant des corps alités,
Combiens de battements, subitement, se sont arrêtés?
Et toutes ces belles phrases censées consoler, quand c'est
Au fonds de nous, mais que la peine nous empêche d'écouter.
Frappés par la douleur, combiens se sont effondrés?
Entre colère et tristesse, parfois c'est dur de se relever,
Qu'on s'y attende ou pas, quand ça arrive, ça gifle,
On se demande pourquoi c'est toujours les bons qui tirent l'as de pique.
On garde en tête ces moments qui nous font sourire seuls,
Lorsque le manque est trop fort, y'a plus que ça qui nous fait tenir.
Alors on fait le tri et on garde le meilleur,
On est bien à l'abri dans un tiroir caché au fond du cur.
Et grâce à ça, on s'ra jamais tout seul,
Jamais en pannes dans ces moments où il y'a personne pour nous remettre en scelle.
On sait pourtant que tout ici fini comme ça,
Y'a toujours un départ, seulement y'a des envols qu'on n'admet pas.
On se surprend parfois à relever la tête,
A fixer les étoiles en cherchant à le reconnaitre.
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui,
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille.
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille,
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes.
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit,
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini.
Un astre s'illumine, comme un clin d'il céleste,
Se caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes.
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui,
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille.
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille,
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes.
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit,
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini.
Un astre s'illumine, comme un clin d'il céleste,
Se caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes.
Et parfois dans le ciel
Credits
Writer(s): Stephen Shockley, William Shelby
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